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poésie à thème


Naître

Et ne plus être

Ivre

De ne plus vivre

Comme le chat qui se rebiffe

Tu sors tes griffes

Tes larmes tu déguises

Avant de fermer ta valise

Tu renverses les remparts

Voilà c’est le départ …

Renaître

Pour mieux être

Vivre

Jusqu’à en devenir ivre

 -dimdamdom-

Chaque chose à sa place

Voilà pourquoi j’ai ramené ce poème ici

En le dédiant à notre âme’mie

Chemin je t’aime

« De thème à t’AIME »

Je vous invite chez’aile

Il suffit de cliquer sur le lien ci-dessus!!!

croqueurs

En cliquant sur l’image vous accédez au blog

De la communauté des Croqueurs de mots!!!

Faire travailler sa mémoire

Voilà ce que nous propose Enriqueta pour les croqueurs de mots

Retrouver une poésie que l’on connaissait par coeur ..

la faire remonter à la surface de notre mémoire

et la transmettre .. sans tricher

C’est drôle je viens de lire déjà quelques participations

Et j’en déduis que les poèmes

Que nous devions retenir dès notre plus jeune âge

Etaient souvent longs , compliqués et ennuyeux

Du moins c’est ce que je ressentais.

Aujourd’hui je comprends

Que c’est parce que j’essayais de retenir des mots

Sans chercher le sens profond du poème

Ce qui m’aurait considérablement aidé

A retenir le texte.

J’avais un atout c’était la mémoire visuelle

Ce qui commence maintenant à me faire défaut

On mettra ça sur le compte de mon âge avancé hihi!!!

Alors voici une fable de La Fontaine

Dont je me souviens la première phrase

Faut dire qu’elle n’est pas banale celle-ci

Allez savoir pourquoi ce n’est pas

« Le corbeau et le renard »

Que tout le monde récite comme un moulin à paroles

Peut-être déjà mon côté altruiste qui faisait ses marques.

Voici donc celle qui a retenu mon attention.

Je vous mets d’une autre couleur la seule phrase que j’ai retenue mdr!!!

La Besace

Jupiter dit un jour: «Que tout ce qui respire

S’en vienne comparaître aux pieds de ma grandeur:

Si dans son composé quelqu’un trouve à redire,

Il peut le déclarer sans peur;

Je mettrai remède à la chose.

Venez, singe; parlez le premier, et pour cause.

Voyez ces animaux, faites comparaison

De leurs beautés avec les vôtres.

Etes-vous satisfait? – Moi? dit-il; pourquoi non?

N’ai-je pas quatre pieds aussi bien que les autres?

Mon portrait jusqu’ici ne m’a rien reproché;

Mais pour mon frère l’ours, on ne l’a qu’ébauché:

Jamais, s’il me veut croire, il ne se fera peindre. »

L’ours venant là-dessus, on crut qu’il s’allait plaindre.

Tant s’en faut: de sa forme il se loua très fort;

Glosa sur l’éléphant, dit qu’on pourrait encor

Ajouter à sa queue, ôter à ses oreilles;

Que c’était une masse informe et sans beauté.

L’éléphant étant écouté,

Tout sage qu’il était, dit des choses pareilles:

Il jugea qu’à son appétit

Dame baleine était trop grosse.

Dame fourmi trouva le ciron trop petit,

Se croyant, pour elle, un colosse.

Jupin les renvoya s’étant censurés tous,

Du reste contents d’eux.

Mais parmi les plus fous

Notre espèce excella; car tout ce que nous sommes,

Lynx envers nos pareils, et taupes envers nous,

Nous nous pardonnons tout, et rien aux autres hommes:

On se voit d’un autre oeil qu’on ne voit son prochain.

Le fabricateur souverain

Nous créa besaciers tous de même manière,

Tant ceux du temps passé que du temps d’aujourd’hui:

Il fit pour nos défauts la poche de derrière,

Et celle de devant pour les défauts d’autrui.

-Jean de La Fontaine-

 

 Pour la communauté : « Les Croqueurs de Mots »

Lilousoleil à la barre 121

 Les jeudis/poésie laissés libres

Une tomate

A l’allure un peu patate

 

Un jour sur l’asphalte

Se prit les pattes

 

Quand je vous dis qu’elle est patate

Cette pauvre tomate

 

Passant par là, une jolie pâte

Lui proposa, d’en faire un coulis de tomates

 

A cette proposition la tomate

Devint écarlate

 

En rougissant voilà qu’elle éclate

Au plus grand plaisir de dame pâte

 

Qui proposa ni une ni deux à cette pauvre tomate

De venir agrémenter son plat de pâtes

 

Ce qu’accepta aussitôt la tomate

Sort plus enviable que de périr sur l’asphalte

 -dimdamdom-

mon selfies

Mon blog

Un peu loufoque

Parfois plein d’ émoi

C’est aussi moi

Quelques coups de gueule

Ce sont eux qui le veulent

De l’humour

J’en ai eu toujours

Mes amours

Ils sont dans le four

De l’amitié

Je distribue à volonté

De la poésie

C’est juste pour rimer avec zizi

Rien de pire

Que de ne pas sourire

-dimdamdom-

Ce selfies, me ramène à cette citation

Pour l’annuaire pour les Nuls

annuaire pour les nuls sur la plateforme apln

Peu importe, du reste, qu’on soit jeune par l’âge ou jeune par le caractère;

l’insuffisance à cet égard n’est pas une question de temps,

mais elle est due au fait qu’on vit au gré de ses passions

et qu’on s’élance à la poursuite de tout ce qu’on voit.

-Aristote-

A l'abordage le défi sur apln-blog

Pour la communauté : « Les Croqueurs de Mots »

Cétotomatix à la barre n° 120

Pour les jeudi/poésie « Oeufs puis eux… »

Derrière eux

Paul CLAUDEL
Recueil : « Trois poëmes de guerre »
 
 

 On se réunira derrière eux.

LE CURÉ d’ARS

Le sang injustement répandu est long à pénétrer dans la terre.

C’est la rosée des cieux innocente qui est pour elle

et la large pluie salutaire

Qui ressort en moissons plantureuses, fourrage et blé,

orgueil de la Hesbaye et du Brabant.

Plus douce encore à ses veines toutefois

quand il vient s’y mêler, s’il faut du sang,

L’âme rouge dans elle de ses fils

et la libation comme du lait et comme du vin

Du soldat qui pour la défendre est tombé, les armes à la main !

Solennelle donation, définitif amour dans le labour et dans l’éteule,

 Glaise réhumectée de l’antique Adam

par quoi la terre et l’homme redeviennent comme un seul !

Mais cette conscription et le marquage à la craie comme des bêtes,

pour la mort, des enfants, des femmes et des vieillards,

Cet entassement pêle-mêle dans un coin, et tout à coup écumeuse,

et toute chaude encore de vie,

et fumante par tous les échenaux de l’abattoir,

Comme la grappe sous le madrier,

cette sortie impétueuse du sang noir,

Cette vendange affreuse dont on la barbouille

et qu’on lui fait boire de force,

Sont des choses dont la terre a horreur,

et une œuvre au rebours d’elle-même, et l’amorce

De cette coupe lentement dans son cœur qui remonte vers vous,

meurtriers, plus profonde et plus large que votre soif !

Vous qui l’avez ensemencée, oubliez-vous qu’elle conçoit ?

Comme il faut la macération de tout l’hiver et la pensée de trois saisons

Pour que le grain longuement médité germe et pousse

et s’atteste épi, promesse d’une centuple moisson,

Tel, et plus vous avez enseveli la semence et plus vous l’avez piétinée,

L’incoercible fruit qui sort du ventre des assassinés !

Roule, fusillade, jour et nuit !

feu de vos pièces toutes à la fois ! tonnez, canons allemands !

Que le coup du mortier de quatre cent vingt vers le ciel

dans une montagne noire de fumée se décharge comme un volcan !

À travers le continuel assaut et la continuelle résistance,

Troupes marquées pour ne plus revenir,

vous n’arriverez pas à détruire le silence,

Vous n’arriverez pas à remplacer dans vos cœurs

cette voix à jamais qui s’est tue,

La bouche sans pardon de ceux que vous avez tués

et qui ne parleront plus !

Retranche-toi, peuple assiégé !

étends tes impassables réseaux de fil de fer !

Fossoyeurs de vos propres bataillons,

sans relâche faites votre fosse dans la terre !

Ce qui tape jour et nuit dans vos rangs,

ce qui sonne joyeusement en face n’est pas tout !

Il y a une grande armée sans aucun bruit

qui se rassemble derrière vous !

Depuis Louvain jusqu’à Réthel, depuis Termonde jusques à Nomény,

Il y a de la terre mal tassée qui s’agite

et une grande tache noire qui s’élargit !

Il y a une frontière derrière vous qui se referme

plus infranchissable que le Rhin !

Écoute, peuple qui es parmi les autres peuples comme Caïn !

Entends les morts dans ton dos qui revivent,

et dans la nuit derrière toi pleine de Dieu,

Le souffle de la résurrection qui passe sur ton crime populeux !

Peuple de sauterelles mangeur d’hommes,

le temps vient que tu seras forcé de reculer !

Le vestige que tu as fait dans le sang,

pas à pas le temps vient que tu vas y repasser !

Viens avec nous, peuple casqué.

Il y a trop de choses entre toi et nous à jamais pour nous en dessaisir !

 Nous te tenons donc à la fin, objet de notre long désir !

Voici le fleuve sans gué de la Justice,

voici les bras des innocents autour de toi

inextricables comme des ronces !

Ressens la terre sous tes pieds pleine de morts

qui est molle et qui enfonce !

 

Juin 1915

Par ce poème je fais du deux en un

Tout en participant d’une part

A la communauté des Croqueurs de Mots

Et d’autre part

A celle de notre amie Clara

« Il y a cent ans »

il y a cent ans sur apln-blog

rendez-vous avec vous sur apln blog

Ce matin un peu barbouillé

Direction les cabinets

Un peu patraque

Je quitte la barraque

Je me mets en piste

Direction le dentiste

Un peu mal au coeur

Direction le docteur

Un peu coincé

Direction le kiné

Un peu indécis

Direction le psy

Un peu ruiné

Direction le banquier

Le facteur qui m’accoste

Direction la poste

Ma voiture hors piste

Direction le garagiste

Mon chien me fout les nerfs

Direction le vétérinaire

J’aimerais demain au réveil

Pouvoir prendre la direction du soleil

Et prendre rendez-vous

Rien qu’avec vous!

 -dimdamdom-

Ce qui m’amène à la citation suivante

Sur l’annuaire pour les Nuls

annuaire pour les nuls sur la plateforme apln

 « Un matin, l’un de de nous manquant de noir, se servit de bleu :

l’impressionnisme était né. »

Pierre Auguste Renoir

 

Au pays du Soleil Levant

 La vie ne sera plus jamais comme avant

 La terre en tremblant

 Fait trembler de peur milliers d’enfants

 La mer dans les terres s’engouffrant

 Dans l’horreur et le néant

 Fait sombrer milliers d’enfants

 Et comme si ce n’était pas suffisant

 Voilà que de ces monstres géants

 S’échappe par des trous béants

 Le poison si puissant

 Empêchant milliers d’enfants

 Du pays du Soleil Levant

 De respirer comme avant

 Si l’homme qui se prétend pensant

 Pouvait comprendre que depuis la nuit des temps

 La nature jamais ne fait semblant.

 -dimdamdom-

Non je ne suis pas redondante

Nous ne pouvons pas oublier

Cette tragédie!!!

 

 

Mes potes

 Disent que je suis hot

 Les hommes

 Disent que je suis bonne

 Mes copines

 Disent que je suis coquine

 Certains

 Disent que j’ai de beaux seins

 Les malotrus

 Disent que j’ai un beau cul

 Voilà notre drame

 A nous les femmes

 Avoir de beaux atouts

 N’est pas un tout

 Je n’ai rien trouvé de mieux

 De répondre à ces messieurs

 Qu’avant tout je suis femme

 Dotée d’une âme

 -dimdamdom-

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Parfois plein d’ émoi

C’est aussi moi

Quelques coups de gueule

Ce sont eux qui le veulent

De l’humour

J’en ai eu toujours

Mes amours

Ils sont dans le four

De l’amitié

Je distribue à volonté

De la poésie

C’est juste pour rimer avec zizi

Rien de pire

Que de ne pas sourire.

-dimdamdom-

Ce qui m’amène à cette citation

De Grégoire Lacroix

« Là où l’humour est partagé,

L’amitié n’est pas loin »

Je participe au dico-citations

Sur l’annuaire pour les Nuls

annuaire pour les nuls sur la plateforme apln

Un vieux gorille

Qui avait passé sa vie

A se mirer le nombril

Se vit un soir

Dans un miroir

Et sombra dans le désespoir

Il continuait de se regarder dans la glace

Tout en essayant de faire des grimaces

Ce qui laissait son entourage de glace

Le voilà pris d’un malaise

Ce qui mit mal à l’aise

Ceux que bien souvent il biaise

Leur imposant avec outrance

Pour unique pitance

Un énigmatique silence

-dimdamdom-

Ce qui m’amène à cette citation

« On n’apprend pas à un vieux singe à faire la grimace »

Ceci est ma participation

Au dico-citations

Sur l’annuaire pour les Nuls

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Il arrive dans la vie

Que certains maux nous inspirent

Au point de vouloir s’exprimer par des mots

Sans toutefois vouloir nuire

Mais je préfère mille fois les écrire

Que de les enfouir !!!

Qui suis-je???

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De l'amitié
Je distribue à volonté
De la poésie
C'est juste pour rimer avec zizi
Rien de pire
Que de ne pas sourire
Voilà un peu de moi
Pour toi!!!

-dimdamdom-

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