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Archives mensuelles : avril 2015

ego-problem

Moi qui n’aimais que toi, moi qui ne pensais pas

Pouvoir regarder là où tes yeux n’étaient pas,

Moi qui t’ai adulé comme on prie les dieux

Moi qui ne savais pas vivre autrement qu’à deux …

 

Moi qui te mettais haut dans l’échelle du coeur

Prête à me saboter pour te lancer des fleurs,

Je me suis oubliée en croyant trop en toi

Je ne me voyais plus car je ne m’aimais pas.

 

Aujourd’hui, j’ai compris qu’il me fallait trouver

D’abord l’enfant perdu puis la femme envolée

Celle qui était en moi et que j’avais laissée

Pour être un peu de toi, occultant mes pensées.

 

Tu n’en demeures pas moins quelqu’un de merveilleux capricieux

Mais je suis à ma place et je me sens bien mieux

Quand enfin je m’écoute et défends mes idées

Je n’ai plus peur de moi, j’ai envie d’exister.

 

L’amour est un échange, pas une vénération

Le sentiment d’aimer n’est pas une addiction,

C’est en devenant soi qu’on peut enfin donner

Quand on se sait capable d’être soi-même aimée.

– Mayane –

(auteur inconnu)

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Voici ma participation au jeudi poésie

Mené par mes soins

Sur la communauté des Croqueurs de Môts

Le thème étant « L’addiction »

J’ai mal au coeur

 Des hauts le coeur

 Trop souvent je pleure

 Tout m’écoeure

 Que dit le docteur?

 Un excès de rancoeur

 Que vous prenez trop à coeur.

 Une pincée de bonheur

 Une infusion de pétales de fleur

 Encore un peu de torpeur

 Et après quelques heures

 Vous retrouverez votre belle humeur.

 Merci Docteur!!!

 -dimdamdom-

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Voici ma participation au jeudi poésie

Proposé par Enriqueta

Sur le thème « Je suis malade »

photo-de-MMR

Pour le thème d’avril : Une photo des mots

sur une photo de Martine

 

Sirupeux souvenir balayé d’un revers,

Cent façons de s’éloigner, de briser le navire.

Quand la brume du quai se retire en hiver,

Ce trou béant, le vaisseau qui chavire.

 

La cicatrice sur ma poitrine à jamais sanglante,

Une palombe gitane d’un cri m’indique l’horizon.

Je regarde sans rien voir la lumière chancelante,

Notre presque bateau s’engouffrant dans le fond.

 

Sur mes joues des larmes séchées s’oublient en nuages,

Rejoignant le troupeau compact de ce ciel,

Qui, on pourrait presque y voir un présage,

 Iront verdir un à un vos espoirs éternels.

-Flying K-

Voici ma participation pour Evajoe et sa communauté

Les passeurs de mots

la communauté des passeurs de mots sur apln-blog

Est poète aussi celui qui vous donne l’envie

D’aimer la poésie

En partageant des mots jolis

Empruntés à autrui

roméo et juliette sur apln-blog

Roméo habite au rez-de-chaussée du bâtiment trois

Juliette dans l’immeuble d’en face au dernier étage

Ils ont 16 ans tous les deux et chaque jour quand ils se voient

Grandit dans leur regard une envie de partage

C’est au premier rendez-vous qu’ils franchissent le pas

Sous un triste ciel d’automne où il pleut sur leurs corps

Ils s’embrassent comme des fous sans peur du vent et du froid

Car l’amour a ses saisons que la raison ignore

 

Roméo kiffe Juliette et Juliette kiffe Roméo

Et si le ciel n’est pas clément tant pis pour la météo

Un amour dans l’orage, celui des dieux, celui des hommes

Un amour, du courage et deux enfants hors des normes

 

Juliette et Roméo se voient souvent en cachette

Ce n’est pas qu’autour d’eux les gens pourraient se moquer

C’est que le père de Juliette a une kippa sur la tête

Et celui de Roméo va tous les jours à la mosquée

Alors ils mentent à leurs familles, ils s’organisent comme des pros

S’il n’y a pas de lieux pour leur amour, ils se fabriquent un décor

Ils s’aiment au cinéma, chez des amis, dans le métro

Car l’amour a ses maisons que les darons ignorent

 

Le père de Roméo est vénèr, il a des soupçons

La famille de Juliette est juive, tu ne dois pas t’approcher d’elle

Mais Roméo argumente et résiste au coup de pression

On s’en fout papa qu’elle soit juive, regarde comme elle est belle

Alors l’amour reste clandé dès que son père tourne le dos

Il lui fait vivre la grande vie avec les moyens du bord

Pour elle c’est sandwich au grec et cheese au McDo

Car l’amour a ses liaisons que les biftons ignorent

 

Mais les choses se compliquent quand le père de Juliette

Tombe sur des messages qu’il n’aurait pas dû lire

Un texto sur l’i-phone et un chat Internet

La sanction est tombée, elle ne peut plus sortir

Roméo galère dans le hall du bâtiment trois

Malgré son pote Mercutio, sa joie s’évapore

Sa princesse est tout prêt mais retenue sous son toit

Car l’amour a ses prisons que la raison déshonore

Mais Juliette et Roméo changent l’histoire et se tirent

A croire qu’ils s’aiment plus à la vie qu’à la mort

Pas de fiole de cyanure, n’en déplaise à Shakespeare

Car l’amour a ses horizons que les poisons ignorent

 

Roméo kiffe Juliette et Juliette kiffe Roméo

Et si le ciel n’est pas clément tant pis pour la météo

Un amour dans un orage réactionnaire et insultant

Un amour et deux enfants en avance sur leur temps.

 

-Grand Corps Malade-

 

Fabien Marsaud, alias Grand Corps Malade, est un véritable

poète, un poète des temps modernes.

Voici ma participation pour les poésies du jeudi chez Asphodèle

asphodèle

 

Et pour compléter ce poème j’ajoute ma toute petite participation

Au jeudi poésie proposé par Enriqueta

Qui pour l’occasion nous demande

d’évoquer en poésie les médecines “parallèles”

 (homéopathes, magnétiseurs, marabout, psy, coach, …).

Donc ma conclusion à ce superbe poème de GCM est la suivante :

« Quand Homéopathie Juliette pleure »

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poemealenvers sur apln-blog

À l’ombre, sous les platanes roux,

À Londres, tristement assis sur un banc

J’écourte ces discours douloureux,

J’écoute chaque jour mon cœur las et triste.

 

« Je pars, c’est fini. Je t’aime. »

Je parvins à saisir ces mots murmurés :

Assis près de toi, l’âme déchirée,

À six heures, l’heure ultime.

 

Fragments d’un être brisé,

Fragiles phrases aux rimes égarées,

Souvenirs volatiles sans destination,

Soupirs inexprimables d’une passion.

 

Las, malgré l’automne qui flamboie

Là, un homme, seul, dans un précoce hiver.

Il était une fois

Un poème à l’envers…

-William Taurus-

(Poésie française – Webnet)

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Voici ma double participation au jeudi poésie

L’une sur la communauté des Croqueurs de Môts

Défi 142 mené par Lénaïg

Sur le thème

« Le monde à l’envers »

asphodèle

L’autre chez Asphodèle

Sur le blog

« Les lectures d’Asphodèle »

 

Qui suis-je???

Mon blog
Un peu loufoque
Parfois plein d' émoi
C'est aussi moi
Quelques coups de gueule
Ce sont eux qui le veulent
De l'humour
J'en ai eu toujours
Mes amours
Ils sont dans le four
De l'amitié
Je distribue à volonté
De la poésie
C'est juste pour rimer avec zizi
Rien de pire
Que de ne pas sourire
Voilà un peu de moi
Pour toi!!!

-dimdamdom-

Ma musique au fil du temps

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