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Archives mensuelles : mars 2014

 

 Une brise MARINE a soufflé ce matin!

Elle a soufflé partout, tout au long des chemins.

«Debout » disait la brise à tous les braves gens,

«Debout, allez, debout, tous, en avant ! ».

 

Alors le paysan s’étira, se leva…

Et le maçon partit, gamelle sous le bras.

Le patron se planta devant son atelier…

Et sourit au passage à tous ses ouvriers.

Et puis le fonctionnaire se saisit d’un dossier,

Et l’écolier finit, enfin, par s’éveiller.

 

« Debout ! » disait la brise.

 

Le bedeau accorda son vieil orgue s’en fut,

Et le marin-pêcheur vérifia son chalut.

L’instituteur nota la date au tableau noir,

Le routier alluma son moteur et ses phares,

La caissière compta un à un ses billets,

L’infirmière enfila sa blouse immaculée.

 

« Debout ! » disait la brise.

 

Le commerçant fébrile fit quelques pas dehors,

Le pilote s’assit à son tableau de bord,

Le chercheur insomniaque se versa un café,

Le boulanger sortit la nouvelle fournée,

Le typo mit en page les dernières rumeurs,

Le soldat, impeccable, salua les couleurs.

 

« Debout ! » disait la brise.

 

Pendant que le dealer, le voleur, le violeur,

Racketteur, proxénète, politicien menteur,

Le siffleur insolent des hymnes nationaux,

L’incendieur de drapeau, d’autobus ou d’autos,

Ou l’agresseur de prof, le rappeur insultant,

Dormait paisiblement, dormait profondément.

 

« Debout ! » disait la brise.

 

Puis, elle se fit vent,

le vent se fit tempête,

La tempête ouragan…

Qui balaya d’un coup dormeurs et malfaisants.

 

Une brise a soufflé ce matin…MARINE…Enfin,

 

Il était temps !

&&&&&

A toi l’auteur que je préfère laisser inconnu

Qui ne gagne pas à être connu

Voici donc ma réponse!!!

&&&&&

Pauvre France

Entre les deux ton coeur balance

A ne pas savoir ce que tu veux

Personne ne pourra dénouer les noeuds

Un jour tu cries espoir

L’autre tu broies du noir

Tu cherches la perfection

Dans un monde en contradiction

Oui mais attention quand tu verras bleu

Il te faudra soigner tes bleus

Ton identité ils n’en ont cure

Ils te jetteront en pâture

14/18 te souviens-tu

De l’identité de nos Poilus?

-dimdamdom-

 

 Souvent j’utilise ma poésie pour évacuer mes mots,

 Je laisse à chacun la possibilité de les interpréter selon leur motivation

 Quant à moi je n’ouvre pas de débat sur les miennes.

 Alors à vous tous qui me lisez,

 Considérez que cet article n’est autre qu’un exercice d’écriture

 Auquel j’aime participer.

Ceci est ma participation

Au dico-citations

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rendez-vous avec vous sur apln blog

Ce matin un peu barbouillé

Direction les cabinets

Un peu patraque

Je quitte la barraque

Je me mets en piste

Direction le dentiste

Un peu mal au coeur

Direction le docteur

Un peu coincé

Direction le kiné

Un peu indécis

Direction le psy

Un peu ruiné

Direction le banquier

Le facteur qui m’accoste

Direction la poste

Ma voiture hors piste

Direction le garagiste

Mon chien me fout les nerfs

Direction le vétérinaire

J’aimerais demain au réveil

Pouvoir prendre la direction du soleil

Et prendre rendez-vous

Rien qu’avec vous!

 -dimdamdom-

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 « Un matin, l’un de de nous manquant de noir, se servit de bleu :

l’impressionnisme était né. »

Pierre Auguste Renoir

 

Parce que je ne suis pas poète

Et que je n’ai pas la prétention de l’être

Je viens ici exprimer

Parfois avec mes mots

Parfois avec les leurs

Tout ce que j’ai sur le coeur

 Aujourd’hui, je n’ai pas de mots

Alors pour remercier

Ceux dont parfois je m’inspire

 Et ceux qui m’apportent leurs mots

Voici un petit poème

Que j ai emprunté

Les feuilles blanches se noircissent,

Sous l’encre noire des mots.

Les lettres s’entrelacent et compatissent

Comme l’ami qui soignent nos maux…

Faut-il lire entre les lignes ?

Faut-il y voir un signe ?

Est-ce une vérité ?

Est-ce juste une banalité ?

On apprécie la beauté des textes,

On essaye d’y trouver le semblant,

A notre propre histoire, comme un soulagement,

Ou tout simplement un prétexte.

Alors à chaque vers…

C’est soit le printemps, soit l’hiver !

C’est soit le jour ou soit le noir !

Mais chaque poème c’est un peu d’espoir….

Alors à tous les poètes d’un soir

Un grand Merci

-auteur inconnu-

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La reconnaissance est la mémoire du coeur.

[Hans Christian Andersen]

 

il y a cent ans sur apln-blog

Pour la communauté de Clara Il y a 100 ans

On mobilise….. on part.

 Sur le quai de la gare,

Près de ceux qui s’en vont, sans cris et sans bagarre,

Des groupes de parents, d’amis se sont formés.

Les futurs combattants, encore pas armés,

N’emportent, avec leurs deux paires de chaussures,

Qu’un peu d’argent, logé dans une poche sûre.

Mais leur meilleur bagage et le plus réchauffant,

Celui qui va tremper le coeur de ces enfants,

C’est le regard d’amour de tous ces yeux de femmes,

Et le dernier baiser où passeront leurs âmes.

On a tout ce qu’il faut pour vaincre, ayant cela !

Mère, soeur, fiancée, épouse, elles sont là…

Et chacune, étreignant fils, amoureux ou frère,

Fait un héros avec cette étreinte dernière !

Mots tendres, noms chéris, sont échangés, hâtifs…

A peine un mouchoir blanc sèche des pleurs furtifs :

– Au revoir, mon petit ! – Mon Jean ! – Bonsoir, soeurette !

– Bien des choses chez nous, Margot !

La classe est prête.

Un tout petit soldat, seul, presque un gosse encor,

Partait sans que quelqu’un donnât le réconfort,

A son être angoissé, d’une chaude embrassade !

Triste, il les regardait, les heureux camarades,

Et songeait, soupirant d’un grand soupir profond :

« Un bon baiser d’adieu, ce doit être si bon ! »

Alors Margot – vingt ans, teint rose et franche allure

Vit le le frêle soldat à la pauvre figure ;

Et, comprenant d’instinct tout ce qui se passait

Dans le coeur isolé de ce petit Français,

Marcha vers lui, disant : »Vous n’avez donc personne ?

Eh bien ! Je vous embrasse ! et que ça claque et sonne ! »

Sur chaque joue elle appuya sa lèvre en feu,

Et le petit soldat eut son baiser d’adieu.

Il cria : » Vivent les Françaises ! » Les portières

Battirent, et le train courut à la frontière.

-Marguerite Duportal-

30 août 1914

Marguerite Duportal, dont je n’ai que très peu de renseignements

Si ce n’est qu’elle était poétesse des années 30 et d’origine dauphinoise,

A su porter des mots d’une grande poésie, sur les maux

De ces hommes appelés aux armes tout âge confondu.

 

 

Au pays du Soleil Levant

 La vie ne sera plus jamais comme avant

 La terre en tremblant

 Fait trembler de peur milliers d’enfants

 La mer dans les terres s’engouffrant

 Dans l’horreur et le néant

 Fait sombrer milliers d’enfants

 Et comme si ce n’était pas suffisant

 Voilà que de ces monstres géants

 S’échappe par des trous béants

 Le poison si puissant

 Empêchant milliers d’enfants

 Du pays du Soleil Levant

 De respirer comme avant

 Si l’homme qui se prétend pensant

 Pouvait comprendre que depuis la nuit des temps

 La nature jamais ne fait semblant.

 -dimdamdom-

Non je ne suis pas redondante

Nous ne pouvons pas oublier

Cette tragédie!!!

 

 

Mes potes

 Disent que je suis hot

 Les hommes

 Disent que je suis bonne

 Mes copines

 Disent que je suis coquine

 Certains

 Disent que j’ai de beaux seins

 Les malotrus

 Disent que j’ai un beau cul

 Voilà notre drame

 A nous les femmes

 Avoir de beaux atouts

 N’est pas un tout

 Je n’ai rien trouvé de mieux

 De répondre à ces messieurs

 Qu’avant tout je suis femme

 Dotée d’une âme

 -dimdamdom-

Pour la communauté des Passeurs de Mots

Evajoe lance le thème du mois de mars

(vous avez le temps )

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Que vous inspire cette photo, chacun le dira à sa manière…

Sur Ta barque

Un jour j’ai voulu embarquer

Nous avons fait le tour du lac

Non sans quelques couacs

Quand un jour Elle a voulu embarquer

Sur Notre barque

Aussitôt j’ai débarqué

Vous laissant sur Votre barque

Vous avez fait le tour du lac

Il n’y eut que des couacs

De Votre barque

Tu l’as débarquée

Sur Ta barque

Tu voulais me faire rembarquer

Mais voilà ça sentait l’arnaque

Et je t’ai débarqué

Aujourd’hui il ne reste plus qu’une barque

Et plus personne pour embarquer.

-dimdamdom-

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« Quand les brebis enragent, elles sont pires que les loups. »

Qui suis-je???

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Un peu loufoque
Parfois plein d' émoi
C'est aussi moi
Quelques coups de gueule
Ce sont eux qui le veulent
De l'humour
J'en ai eu toujours
Mes amours
Ils sont dans le four
De l'amitié
Je distribue à volonté
De la poésie
C'est juste pour rimer avec zizi
Rien de pire
Que de ne pas sourire
Voilà un peu de moi
Pour toi!!!

-dimdamdom-

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