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Archives mensuelles : septembre 2014

dromadère sur apln-blog

Un jeune rastaquouère

Au volant d’une Daf

Conduisait la tête en l’air

Quand bardaffe

Voilà qu’il dérapa

Dans un jardin rempli de dahlias

Se sauva avant qu’une vieille ne l’attrapa

Et se planqua dans une pizzéria

Le propriétaire Denis Martin

Originaire de Dino

Avait compris qu’il fallait sortir le gamin

De cet embroglio

Derrière son resto il y avait un zoo

Le poussa vers la porte arrière

L’intimant de partir illico

A dos de dromadaire

Direction le Danemark

En offrant pour lui quelques donuts

Avant qu’il n’embarque

Et pour son dromadaire un sac de peanuts

-dimdamdom-

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Voici ma participation

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Soyez les bienvenus

Plus on est de fous

plus on s’amuse!!!

 

Au nom de quel Dieu

Vous permettez vous de mettre le feu

A notre essence de vie

En obligeant nos filles

Au port du tchador

Triste décor

Que ces corps mutilés

Lâchement décapités

Au nom de quel Dieu

Devrions nous fermer les yeux

Odieux chantage

Digne du Moyen-âge

Faut-il à vos pieds s’agenouiller

Et laisser le massacre continuer

Qu’on me dise quel Dieu

Est capable d’être aussi odieux

-dimdamdom-

Ce poème je le dédie

A Hervé Gourdel

Et tous les otages

Sauvagement assassinés

Dont l’horizon

S’est confondu

Dans les yeux de ces barbares

Sans regard.

Ceci est ma participation au jeudi poésie

Pour les Croqueurs de Mots

Dont le thème était l’horizon

croqueurs

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Des Croqueurs de Mots

 

Calamity Jane sur apln-blog

Madame,

 Je vous prie d’excuser ma fille

Camomille

 Qui en ce jour de 1er mai, a décidé

 De ne pas travailler.

 J’ai bien essayé de raisonner ma fille

 Mais rien n’y fait c’est une tête de mule ma Camomille

 Voulant joindre l’utile à l’agréable

 Voilà qu’elle se rend désagréable

 Nous l’avions emmenée à Carnac voir les dolmens

 Elle nous dit que ce n’est pas de son domaine

 De visiter des tas de cailloux

 Et qu’en Bretagne il n’y a que des fous

 Elle aimerait partir au Canada

 Apprendre le métier de soldat

 Nous l’emmenons au restaurant

 Voilà qu’en entrant

 Elle se bouche les narines

 Disant que ça pue la Marine

 Nous commandons des coquillages et des fruits de mer

 Elle n’a mangé que les légumes verts

 Trouvant qu’il y avait trop de cailloux

 Les a rassemblés pour les jeter dehors dans un trou

 Nous disant qu’elle préférait les choux de Bruxelles

 Et les toasts à la cervelle.

 Aujourd’hui c’est le 1er Mai, voilà qu’elle a décidé

 De manifester dans les rues, le poing levé

 Scandant le nom Hugo Chavez

 Alors qu’elle n’est qu’une petite Française

 Elle nous reproche notre Porshe Carrera

 Elle dit que ça fait bourges déca

 Oh Madame savez vous qu’avec  ma fille

Un rien part en vrille

 Si elle n’existait pas

 Il faudrait peut-être l’inventer ou pas!!!

-dimdamdom-

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Voici ma participation à l’abécédaire pays, villes, etc…

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Aller en ville un jour de pluie sur apln-blog

On piétine la boue

En attendant le car

Le car est en retard

La colère qui bout.

 

Enfin, voici le car

Il fait gicler la boue

On voyage debout

Le car est en retard.

 

Ça sent le drap mouillé

La sueur qui s’évapore

Sur les vitres la buée

Ce moyen de transport

 

Nous amène à la ville

On s’y fait insulter

Des agents peu civils

Nous y mépriseraient

 

Si farauds du terroir

On leur un peu marchait

Sur leurs vastes panards

En allant au marché

 

Les garçons de café

Nous servent peu aimables

Ils n’ont pas de respect

Pour la terre labourable

 

La journée est finie

On rentre par le car

La boue toujours jaillit

Pressée par les chauffards

 

Voici notre village

Voici notre maison

Il pleut, il pleut, bergère

Rentre tes bleus moutons

 

-Raymond Queneau-

 

Aujourd’hui je joins deux participations

L’une pour le jeudi de la poésie chez Asphodèle

asphodèle

L’autre pour le jeudi poésie chez les Croqueurs de Mots

Dont le thème est « L’herbe et le béton »

Un thème qui me parle beaucoup

Moi qui vit en ville

Et qui est en quête d’une vie sans béton.

J’aime beaucoup la poésie obsolète de Raymond Queneau .

croqueurs

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Aux blogs organisateurs de ces jeudis poésie.

père gilbert sur apln-blog

Le père Gilbert

 Que l’on surnomme

Bébert

 Est un brave homme

 Le dimanche à la messe

 Lors du sermon

 Il fait des prouesses

 C’est sans complexe

 Qu’il provoque hommes et femmes

 En parlant de sexe

 Tout y passe

 Libertinage, adultère

 Et j’en passe

 Car Bébert a du flair

 Beaucoup de bon sens

 Il se permet de déposer ses cendres

 Dans le bénitier avec indécence

 Dans un lieu

 Où l’on est supposé ne pas simuler

 Nos sentiments pieux

 Le père Gilbert fait sensation

 Le dimanche à la messe

 Devant un public de tout horizon

 Lorsqu’il sort de sa BX

Vert basilix

 Ses amis sont le Prince de Belgique

 La Reine Elisabeth de Birmingham

 Mais aussi les loubards et les dames molles de fesse

 A défaut d’être folles de messe.

 Qui promènent leur bichon sur le port d’Amsterdam

 -dimdamdom-

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Voici ma participation

A l’abécédaire pays, villes, etc…

Sur une reprise d’un ancien poème

Que mes amis de la cour de récré

Reconnaitront peut-être

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N'oubliez jamais sur apln-blog

Onze septembre 2001

Il pleut des larmes

Et du chagrin

Le chagrin charme

Deux soeurs jumelles

Presque siamoises

Deux tours, tourelles

De la mémoire

Cette sentence

Invincible jamais

Potence-ciel-ment cible

A jamais

Aucune puissance

Même terrible

N’est à l’abri

Des pensées de l’horrible

Aucune puissance

Même tenace

N’est à l’abri de la menace

Mais aucune puissance terroriste

Ne fera plier les humanistes.

 

Jour particulier, il y en a eu d’autres…

-Reuter-

Poème glané sur le net

A qui dois-je ma mort, à la folie des hommes ?

Qui sangle nos destins aux lits des condamnés,

Sous l’austère lueur des pleurs de tes damnés ?

Quand tu fermes les yeux Dieu dis-moi où nous sommes !

 Par Didier Picauron © 2013

Voici ma participation au Jeudi Poésie

Chez les Croqueurs de Mots

Orchestré par Enriqueta.

 Quand j’ai connu Aldo

Qu’il roulait ses biscotos

Façon  Aldo Macionne

Les bras chargés d’anémones

J’ai démarré au quart de tour

Très vite j’étais au point de non retour

Lorsque vibrait son moteur

Toc toc faisait mon coeur

Lorsque je posais ma main  sur son levier

Aussitôt je prenais mon pied

Quand en un instant

Il passait de zéro à cent

Mon sang ne faisait qu’un tour

C’était le début d’une grande histoire d’amour

Et voilà qu’aujourd’hui

Aldo  est devenu mon mari

Il n’a plus d’aussi gros biscotos

Il les a remplacés par une  Alpha Roméo

 Dans sa belle auto il m’emmène à Albi en Italie

Son pays d’origine dont il a la nostalgie

Il déprime depuis que nous vivons à la campagne

Au fin fond de l’Allemagne

Et ensemble sur la banquette arrière

 Nous continuons a nous envoyer en l’air

En évitant la couverture des chiens

Car Aldo est allergique aux acariens.

-dimdamdom-

 

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Voici ma participation au nouveau défi

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croqueurs

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De la communauté des Croqueurs de mots!!!

Faire travailler sa mémoire

Voilà ce que nous propose Enriqueta pour les croqueurs de mots

Retrouver une poésie que l’on connaissait par coeur ..

la faire remonter à la surface de notre mémoire

et la transmettre .. sans tricher

C’est drôle je viens de lire déjà quelques participations

Et j’en déduis que les poèmes

Que nous devions retenir dès notre plus jeune âge

Etaient souvent longs , compliqués et ennuyeux

Du moins c’est ce que je ressentais.

Aujourd’hui je comprends

Que c’est parce que j’essayais de retenir des mots

Sans chercher le sens profond du poème

Ce qui m’aurait considérablement aidé

A retenir le texte.

J’avais un atout c’était la mémoire visuelle

Ce qui commence maintenant à me faire défaut

On mettra ça sur le compte de mon âge avancé hihi!!!

Alors voici une fable de La Fontaine

Dont je me souviens la première phrase

Faut dire qu’elle n’est pas banale celle-ci

Allez savoir pourquoi ce n’est pas

« Le corbeau et le renard »

Que tout le monde récite comme un moulin à paroles

Peut-être déjà mon côté altruiste qui faisait ses marques.

Voici donc celle qui a retenu mon attention.

Je vous mets d’une autre couleur la seule phrase que j’ai retenue mdr!!!

La Besace

Jupiter dit un jour: «Que tout ce qui respire

S’en vienne comparaître aux pieds de ma grandeur:

Si dans son composé quelqu’un trouve à redire,

Il peut le déclarer sans peur;

Je mettrai remède à la chose.

Venez, singe; parlez le premier, et pour cause.

Voyez ces animaux, faites comparaison

De leurs beautés avec les vôtres.

Etes-vous satisfait? – Moi? dit-il; pourquoi non?

N’ai-je pas quatre pieds aussi bien que les autres?

Mon portrait jusqu’ici ne m’a rien reproché;

Mais pour mon frère l’ours, on ne l’a qu’ébauché:

Jamais, s’il me veut croire, il ne se fera peindre. »

L’ours venant là-dessus, on crut qu’il s’allait plaindre.

Tant s’en faut: de sa forme il se loua très fort;

Glosa sur l’éléphant, dit qu’on pourrait encor

Ajouter à sa queue, ôter à ses oreilles;

Que c’était une masse informe et sans beauté.

L’éléphant étant écouté,

Tout sage qu’il était, dit des choses pareilles:

Il jugea qu’à son appétit

Dame baleine était trop grosse.

Dame fourmi trouva le ciron trop petit,

Se croyant, pour elle, un colosse.

Jupin les renvoya s’étant censurés tous,

Du reste contents d’eux.

Mais parmi les plus fous

Notre espèce excella; car tout ce que nous sommes,

Lynx envers nos pareils, et taupes envers nous,

Nous nous pardonnons tout, et rien aux autres hommes:

On se voit d’un autre oeil qu’on ne voit son prochain.

Le fabricateur souverain

Nous créa besaciers tous de même manière,

Tant ceux du temps passé que du temps d’aujourd’hui:

Il fit pour nos défauts la poche de derrière,

Et celle de devant pour les défauts d’autrui.

-Jean de La Fontaine-

 

Qui suis-je???

Mon blog
Un peu loufoque
Parfois plein d' émoi
C'est aussi moi
Quelques coups de gueule
Ce sont eux qui le veulent
De l'humour
J'en ai eu toujours
Mes amours
Ils sont dans le four
De l'amitié
Je distribue à volonté
De la poésie
C'est juste pour rimer avec zizi
Rien de pire
Que de ne pas sourire
Voilà un peu de moi
Pour toi!!!

-dimdamdom-

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