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Les croqueurs de mots

Chat va pas bien sur le coin de ma poésie

Le chat qui ne ressemble à rien

Aujourd’hui ne va pas très bien.

Il va visiter le Docteur

Qui lui ausculte le coeur.

Votre cœur ne va pas bien.

Il ne ressemble à rien

Il n’a pas son pareil.

De Paris à Créteil

Il va visiter sa demoiselle

Qui lui regarde la cervelle.

Votre cervelle ne va pas bien

Elle ne ressemble à rien,

Elle n’a pas son contraire

A la surface de la terre.

Voilà pourquoi le chat qui ne ressemble à rien

Est triste aujourd’hui et ne va pas bien.

 

-Robert Desnos- ( La ménagerie de Tristan.)

La ménagerie de Tristan sur le coin de ma poésie
 
Voici ma double participation

Aux jeudis poésie

L’une pour les Lectures d’Asphodèle

asphodèle
 
L’autre pour les Croqueurs de Mots
 
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coeur brisé sur apln-blog

J’étais heureuse

De les voir s’épanouir

De ne plus se nuire

Jusqu’à hier

Où j’ai vu qu’ils jouent à cache-cache

Je crois que j’ai raté ma tâche

Je ne baisse pas les bras

Même si cela sera difficile

De les remettre dans la file

Autant je ris

Du matin au soir

Autant la nuit je broie du noir

De les voir gâcher leur vie

Alors j’esquisse un sourire

En gardant bon espoir

De les faire sortir du fond du tiroir.

-dimdamdom-

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Voici ma participation

Au jeudi poésie

Pour la Communauté des Croqueurs de Mots

Dont voici le thème :

“Expliquer à votre sauce l’origine d’une expression connue”

Les miennes sont :

« Broyer du noir « 

« Se retrouver dans le fond du tiroir »

« Tu me fends le coeur »

« Esquisser un sourire »

mort aux vaches sur apln-blog

Aujourd’hui deux participations

Pour le prix d’une.

L’une pour le jeudi de la poésie chez Asphodèle

asphodèle

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L’autre pour les Croqueurs de Mots

croqueurs

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De la communauté des Croqueurs de Mots

Où je demande (c’est moi qui suis à la barre)

De mettre en avant une expression connue.

Ici j’ai choisi « Mort aux vaches »

Utilisée par Georges Brassens

Dans une chanson dont le titre est « Hécatombe »

Issu de son album « La mauvaise réputation »

« Mort aux vaches, Mort aux lois, vive l’anarchie!  »

A chaque fois qu’il chantait L’hécatombe à Bobino en ’72,

Le public s’enthousiasmait systématiquement en applaudissant

Le mot  « anarchie ».

Systématiquement, Brassens allait prendre un verre d’eau

Après la chanson et disait:  » Ils ne comprennent rien à l’anarchie « .

Avec ses chansons, le petit bonhomme qui n’aura jamais suivi les chemins

Qui mènent à Rome partageait contes et histoires avec son auditoire,

En même temps qu’il tenait face à son public.

Brassens provoquait le monde entier lorsqu’il se posait en scène

Avec ses trois accords, et il est un peu regrettable que la majeure partie

Du public n’ait retenu que ces trois accords, précisément.

Lire la suite ….

 

Hécatombe

 

Au marché de Briv’-la-Gaillarde

A propos de bottes d’oignons

Quelques douzaines de gaillardes

Se crêpaient un jour le chignon

A pied, à cheval, en voiture

Les gendarmes mal inspirés

Vinrent pour tenter l’aventure

D’interrompre l’échauffourée

 

Or, sous tous les cieux sans vergogne

C’est un usag’ bien établi

Dès qu’il s’agit d’rosser les cognes

Tout le monde se réconcilie

Ces furies perdant tout’ mesure

Se ruèrent sur les guignols

Et donnèrent je vous l’assure

Un spectacle assez croquignol

 

En voyant ces braves pandores

Etre à deux doigts de succomber

Moi, j’bichais car je les adore

Sous la forme de macchabées

De la mansarde où je réside

J’exitais les farouches bras

Des mégères gendarmicides

En criant: « Hip, hip, hip, hourra! »

 

Frénétiqu’ l’un’ d’elles attache

Le vieux maréchal des logis

Et lui fait crier: « Mort aux vaches,

Mort aux lois, vive l’anarchie! »

Une autre fourre avec rudesse

Le crâne d’un de ses lourdauds

Entre ses gigantesques fesses

Qu’elle serre comme un étau

 

La plus grasse de ses femelles

Ouvrant son corsage dilaté

Matraque à grand coup de mamelles

Ceux qui passent à sa portée

Ils tombent, tombent, tombent, tombent

Et s’lon les avis compétents

Il paraît que cette hécatombe

Fut la plus bell’ de tous les temps

 

Jugeant enfin que leurs victimes

Avaient eu leur content de gnons

Ces furies comme outrage ultime

En retournant à leurs oignons

Ces furies à peine si j’ose

Le dire tellement c’est bas

Leur auraient mêm’ coupé les choses

Par bonheur ils n’en avait pas

Leur auraient mêm’ coupé les choses

Par bonheur ils n’en avait pas

 

-Georges Brassens-

Bourvil sur apln-blog

Dès ma naissance

Dans l’existence

Je n’ai jamais été gâté

 

Je me souviens même

Que à mon baptême

Marraine m’a laissé tomber

 

Et j’ai failli me noyer tout petiot

Au fond des fonds baptismaux

 

En premier communiant

J’étais très élégant

Mais j’avais mal au dents

Pas d’chance

 

Si bien que sur mon piano

Il y a toujours cette photo

Où j’ai l’air d’un idiot

Pas d’chance

 

A mon certificat

J’ai copié sur un gars

qui se trompait déjà

Pas d’chance

 

Plus tard au régiment

J’ai fait le mur en sautant

Sur le dos de l’Adjudant

Pas d’chance

 

Au ministère

Comme secrétaire

Le jour où j’ai débuté

Pas très à l’aise

J’offris une chaise

A la femme du Député

 

C’était la chaise qui avait un pied cassé

C’est moi que l’on a remplacé

 

On me pris par faveur

Comme garçon d’ascenseur

Mais cela me donnait mal au cœur

Pas d’chance

 

Comme chauffeur de taxi

J’aurais bien réussi

Mais j’étais trop poli

Pas d’chance

 

Des malheurs de ma vie

J’ai fait une poésie

Mais tout le monde en a rit

Pas d’chance

 

Mes peintures sans efforts

Se vendront à prix d’or

Mais quand je serai mort

Pas d’chance

 

Au fond je me plains comme cela

Puis je devrais être heureux

Parce que je suis amoureux

Mais seulement, il faudrait l’être à deux

Pas d’chance

 

Oh, puis après tout

Quand on a tout raté

A quoi bon insister

Il n’y a plus que à se répéter

Pas d’chance

 

Je m’en fiche pas mal, moi

 

Comme je suis poète

Parfois dans ma tête

J’imagine le train du bonheur

Qui passe à toute vapeur

 

Avec ses voyageurs qui dansent

Seulement ce petit train si joli

Il ne s’arrête jamais ici

C’est peut être un oubli

Tant pis

Pas d’chance, hein…

 

-Bourvil-

 

Voici ma participation au jeudi poésie

Sur la communauté des Croqueurs de Mots

Thème : La chance …

A la barre 131 Martine (Quai des rimes)

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Au nom de quel Dieu

Vous permettez vous de mettre le feu

A notre essence de vie

En obligeant nos filles

Au port du tchador

Triste décor

Que ces corps mutilés

Lâchement décapités

Au nom de quel Dieu

Devrions nous fermer les yeux

Odieux chantage

Digne du Moyen-âge

Faut-il à vos pieds s’agenouiller

Et laisser le massacre continuer

Qu’on me dise quel Dieu

Est capable d’être aussi odieux

-dimdamdom-

Ce poème je le dédie

A Hervé Gourdel

Et tous les otages

Sauvagement assassinés

Dont l’horizon

S’est confondu

Dans les yeux de ces barbares

Sans regard.

Ceci est ma participation au jeudi poésie

Pour les Croqueurs de Mots

Dont le thème était l’horizon

croqueurs

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Des Croqueurs de Mots

 

Aller en ville un jour de pluie sur apln-blog

On piétine la boue

En attendant le car

Le car est en retard

La colère qui bout.

 

Enfin, voici le car

Il fait gicler la boue

On voyage debout

Le car est en retard.

 

Ça sent le drap mouillé

La sueur qui s’évapore

Sur les vitres la buée

Ce moyen de transport

 

Nous amène à la ville

On s’y fait insulter

Des agents peu civils

Nous y mépriseraient

 

Si farauds du terroir

On leur un peu marchait

Sur leurs vastes panards

En allant au marché

 

Les garçons de café

Nous servent peu aimables

Ils n’ont pas de respect

Pour la terre labourable

 

La journée est finie

On rentre par le car

La boue toujours jaillit

Pressée par les chauffards

 

Voici notre village

Voici notre maison

Il pleut, il pleut, bergère

Rentre tes bleus moutons

 

-Raymond Queneau-

 

Aujourd’hui je joins deux participations

L’une pour le jeudi de la poésie chez Asphodèle

asphodèle

L’autre pour le jeudi poésie chez les Croqueurs de Mots

Dont le thème est « L’herbe et le béton »

Un thème qui me parle beaucoup

Moi qui vit en ville

Et qui est en quête d’une vie sans béton.

J’aime beaucoup la poésie obsolète de Raymond Queneau .

croqueurs

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N'oubliez jamais sur apln-blog

Onze septembre 2001

Il pleut des larmes

Et du chagrin

Le chagrin charme

Deux soeurs jumelles

Presque siamoises

Deux tours, tourelles

De la mémoire

Cette sentence

Invincible jamais

Potence-ciel-ment cible

A jamais

Aucune puissance

Même terrible

N’est à l’abri

Des pensées de l’horrible

Aucune puissance

Même tenace

N’est à l’abri de la menace

Mais aucune puissance terroriste

Ne fera plier les humanistes.

 

Jour particulier, il y en a eu d’autres…

-Reuter-

Poème glané sur le net

A qui dois-je ma mort, à la folie des hommes ?

Qui sangle nos destins aux lits des condamnés,

Sous l’austère lueur des pleurs de tes damnés ?

Quand tu fermes les yeux Dieu dis-moi où nous sommes !

 Par Didier Picauron © 2013

Voici ma participation au Jeudi Poésie

Chez les Croqueurs de Mots

Orchestré par Enriqueta.

croqueurs

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De la communauté des Croqueurs de mots!!!

Voici ma participation au jeudi poésie

Mené par M’amzelle Jeanne

&&&&&

Je suis un vieux poète

Au style dépassé

Obéissant aux nombres

Des syllabes des vers…

Si j’ai mené ma quête

Par amour du français

Je ne serai que l’ombre

Des génies d’une autre ère

 

Je voudrais un voyage

Au-delà de mes yeux,

Danser sur une plage,

La nuit près d’un grand feu,

Ecouter des chansons

Pour m’embuer les yeux,

 

Et vivre les frissons

Qui descendent des cieux…

Je voudrais un amour

Où le coeur se repose,

Pouvoir y promener

Le fond de mes pensées,

Refaisant le parcours

Où renaissent les roses,

Afin d’y ramener

Mes rêves effacés…

 

Je veux cette innocence

Où guérir tous mes vices,

Fêter les renouveaux

Qui chassent les malheurs…

Dans les jeux de l’enfance,

Les êtres s’adoucissent

Par la douceur des mots

Où tarissent les pleurs…

 

Je veux de la beauté

Pour soigner mon regard,

Construire une passion

Sans user de ses charmes…

Eprouver la fierté

Qu’inspire le savoir…

Admirer de beaux yeux

Pour en sécher les larmes…

 

J’aime tant écouter

Tous les oiseaux qui chantent,

Perchés sur des rameaux

Portant mille parfums…

Me laisser emporter

Par les vagues touchantes

Du gazouilli des mots

Qui n’auront pas de fin…

 

J’aime cette chaleur

Qui me descend du ciel

Pour réchauffer mon sang

Que l’âge refroidit…

Butiner chaque fleur

Où fabriquer mon miel,

Dans les jeux innocents

Que l’amour a prédits…

 

J’aime chaque sourire

Où je bois de l’espoir,

Pour offrir à mes nuits

Son émouvant prélude…

En faire un souvenir

Pour orner ma mémoire

Et chasser les ennuis

Que fait la solitude…

 

Je n’ai qu’un coeur d’enfant,

En dépit de mon âge…

Je suis un vieux marmot

Au visage ridé…

Je souris en rêvant

A mon ciel sans nuages,

Pour libérer les mots

Que la peur à bridés…

 

Et j’offre de l’amour

Comme un médicament,

Pour soigner les erreurs

Qu’inflige l’ignorance,

Réveillant chaque jour

Les poètes dormants

Capables de couleur

Pour peindre l’innocence…

 

J’ai besoin de paroles

Où l’âme se guérit,

Goûter un peu de paix

Sur la voie des Prophètes,

Effacer les idoles

Où l’amour dépérit,

Pour ainsi échapper

Aux rêves de conquête…

 

J’aimerais un appui

Sur une épaule amie,

Marcher contre le vent

Sans être fatigué,

Offrir l’eau de mon puits

A tous les ennemis,

Dans le désert brûlant

Que la haine a brigué…

 

Il faut tendre le cœur

Aux pauvres en l’amour,

Eteindre les querelles

Du pétrole et de l’eau,

Espérant le bonheur

Que l’on écoute un jour

Cet être exceptionnel

Qui marcha sur les flots

 

-auteur inconnu 2006-

 

C’est fou, ce poème j’aurais pu me l’approprier

J’en connais qui ne se seraient pas gênés 😉

Chaque mot, chaque phrase me parlent

Et pour changer de mes notes pessimistes

Sur le sujet de l’amitié

J’ai eu envie de le mettre au goût du jour.

Je l’avais déjà publié en 2012

A cette époque je l’avais trouvé par hasard

En parcourant internet.

Aujourd’hui je l’ai recherché

Et plus nulle part il n’apparait

Quel dommage que les mots de cet auteur

Ne soient pas gravés dans cette immense bibliothèque,

C’est pour ces raisons que je les ramène à la vie

Dans l’espoir qu’un jour l’auteur puisse les retrouver ici.

Pour moi les vacances d’été s’achèvent

Et pleins de souvenirs de belles rencontres m’envahissent

Alors j’en ai fait le tri

Pour partager les meilleurs avec vous!!!

Aussi après toutes ces rencontres

De par les quatre coins de la terre .

Voici ma conclusion!!!

Il y a des amis dont on rêve

Et ceux avec qui l’on sort

Il y a des amis qu’on regrette

Et ceux qui laissent des remords

Il y a des amis que l’on aime

Et ceux qu’on aurait pu aimer

Puis un jour il y a ceux

Qu’on attendait

Avec qui on se sent bien

Avec qui on a envie de faire un bout de chemin!!!

Voici ma façon de concevoir l’amitié

Que ce soit réellement

Ou virtuellement!!!

ipp

Ma rencontre avec M’amzelle Jeanne 😉

C’était chaleureux, convivial et sympathique

Je vous invite à parcourir son blog pour découvrir son magnifique petit village !!!

Ma rencontre avec le propriétaire de la maison d’hôtes « Les Epicéas »

En Haute-Loire, un endroit que je recommande

A tous les amateurs de randonnées en pleine nature.

En cliquant sur le lien vous aurez une vue plongeante sur ma chambre 😉

ipp

Ma rencontre en Auvergne avec une famille formidable

Celle de Sabine qui gère un blog qui n’en est pas moins formidable

Et que je vous invite à découvrir si ce n’est déjà fait!!!

Chemin je t’aime

 

 

Il n’y a pas d’ami

Que des moments d’amitié

Ce n’est pas moi qui le dit

C’est le renard

Celui qu’est rusé

Qui m’a ouvert le regard

Tu peux me croire

Tous ces mots déposés

Sont écrits dans le noir

Sur le net

L’amitié est illimitée

Rarement à perpète

Et quand tu perds un ami

C’est dix de retrouvés

C’est ça la vie

Quand tu n’en as plus

Tu vas en rechercher

Mais moi je n’en veux plus

Je veux un vrai ami

Lui offrir mon amitié

Quand j’aime c’est pour la vie

-dimdamdom-

Petit poème inspiré d’une citation de Jules Renard

“Il n’y a pas d’ami que des moments d’amitié”

Voici ma participation tardive

Pour le jeudi poésie

De la communauté des Croqueurs de Mots

Avec M’amzelle Jeanne à la barre

Sur le thème : Défi128 : Amitié.. amour.. jalousie….. ou rancoeur

croqueurs

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Emerise

Vient de perdre son emploi

Elle ne veut pas connaître la crise

Et se rend au Pôle-Emploi

 

On lui propose

Moult emplois

Afin de sortir de cette pause

Des boulots à la noix

 

Oui mais Emerise étant diplômée

Aimerait un emploi

Avec hautes responsabilités

Dans la région de Troyes

 

Voilà que monsieur Paul Emploi

Lui fait une proposition

Son baratin il déploie

Qu’elle écoute avec beaucoup d’attention

 

Voilà Mademoiselle Emerise

Avec ce que je vous propose

Plus jamais vous ne connaîtrez la crise

Et vous verrez très vite la vie en rose

 

Vous aurez un poste très élevé

Plus de 5000 personnes en dessous de vous

Un poste à hautes responsabilités

Un projet complètement fou

 

Prenez donc une chaise

Afin que je vous explique

Vous tondrez les pelouses au Père Lachaise

Avec une superbe tondeuse électrique.

 

-dimdamdom-

croqueurs

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Pour la communauté : « Les Croqueurs de Mots »

 Jeanne fadosi à la barre N° 126

Les jeudis/poésie, suggestion, l’attente, la chaise…

Qui suis-je???

Mon blog
Un peu loufoque
Parfois plein d' émoi
C'est aussi moi
Quelques coups de gueule
Ce sont eux qui le veulent
De l'humour
J'en ai eu toujours
Mes amours
Ils sont dans le four
De l'amitié
Je distribue à volonté
De la poésie
C'est juste pour rimer avec zizi
Rien de pire
Que de ne pas sourire
Voilà un peu de moi
Pour toi!!!

-dimdamdom-

Ma musique au fil du temps

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