Onze septembre 2001
Il pleut des larmes
Et du chagrin
Le chagrin charme
Deux soeurs jumelles
Presque siamoises
Deux tours, tourelles
De la mémoire
Cette sentence
Invincible jamais
Potence-ciel-ment cible
A jamais
Aucune puissance
Même terrible
N’est à l’abri
Des pensées de l’horrible
Aucune puissance
Même tenace
N’est à l’abri de la menace
Mais aucune puissance terroriste
Ne fera plier les humanistes.
Jour particulier, il y en a eu d’autres…
-Reuter-
Poème glané sur le net
A qui dois-je ma mort, à la folie des hommes ?
Qui sangle nos destins aux lits des condamnés,
Sous l’austère lueur des pleurs de tes damnés ?
Quand tu fermes les yeux Dieu dis-moi où nous sommes !
Par Didier Picauron © 2013
Voici ma participation au Jeudi Poésie
Chez les Croqueurs de Mots
Orchestré par Enriqueta.
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