Il était une fois un petit trouduc
Qui habitait le village de Moncucq
Il s’entrainait au championnat de France
De la flatulence
Mais son entourage
Se lassait de ses outrages
Un jour il partit de façon impromptue
Faire le tour de Moncucq
Ce départ suspect
Lui permit en toute liberté de lâcher ses pêts
Quand soudain
Il vit un talus au loin
C’est là qu’il se dit
Voilà la chance de ma vie
Et en grimpant sur la butte de Moncucq
Enfin il put péter plus haut que son cul »
D’où vient l’expression connue
« Péter plus haut que son cul »
-dimdamdom-
Au départ ce poème fut dédié
A ce cher petit nain populaire
Mais voilà qu’aujourd’hui
Au risque de me rendre aussi impopulaire
Je le dédie à ceux qui n’ont eu de cesse
De polluer mes espaces
De leurs flatulences nauséabondes
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