Silence
Parfois du peux être d’or
Parfois tu peux être long
Parfois tu peux être un ordre
Parfois du peux être grand
Parfois du peux en dire long
Parfois pesant parfois nécessaire
Parfois définitif
Tu peux être aussi le plus grand des mépris
Souvent incompris tu peux faire souffrir
Et quand les mots ce sont tus
Et que les maux sont là
Tu restes juqu’à ce que tu sois rompu
Alors chut… silence
-dimdamdom-
Un matin la nana
De son lit se leva
Avec dans la tête
Ce refrain qui l’entête
“Tout quitter
Mais tout emporter”
Oui mais le pourrait-elle?
On a tant besoin d’elle
Enfin c’est ce qu’elle croit
Et son tourment elle accroit
A force d’avoir pitié
Du rêve elle revient à la réalité
Et demain elle sera toujours là
A se demander ce qu’elle fait encore là.
Ne serait-il pas mieux de tout quitter
Sans rien emporter…
-dimdamdom-
Ce blog est un peu mon journal intime
Voilà pourquoi j’avais ramené ce poème par ici
Car c’était mon état d’esprit du moment,
Et voilà qu’aujourd’hui Martine (Quai des rimes)
Nous demande de parler sur le thème « Partir «
Pour la Communauté des Croqueurs de Mots
Voilà un thème qui me parle
Puisque cela fait déjà deux semaines
Que je suis partie
Certains pensent que je suis en vacances,
Si être en vacances
C’est prendre du recul
N’avoir rien à faire et avoir toute la journée
Pour le faire sans aucun remord
Alors on dira que je suis en vacances.
Elles étaient trois
Se promenant au bois
Toutes les trois aimaient se retrouver
Pour se raconter de petites histoires
Parfois du matin au soir
Tantôt qui les faisaient éclater de rire
Tantôt faisant éclater leur ire
Elles avaient du caractère
Aucune ne se laissait faire
Mais une fois les choses dites
Elles revenaient à leurs rites
Jusqu’au jour, un renard
Apparut sans crier gare
Il n’était pas méchant en apparence
Il fit quelques pas de danse.
Et les trois amies furent aussitôt séduites
Oubliant de prendre la fuite
Faut dire qu’il avait un beau langage
Et savait y faire pour complimenter son entourage.
Il avait bien une tanière
Mais chaque fois qu’on trouvait son repère
Il faisait en sorte
Que close soit sa porte.
Jusqu’au jour l’une d’elle
Et se fut sans appel
Comprit son jeu
Ce qui le rendit quelque peu furieux
Il fit tant et si bien de semer la zizanie
Que se séparèrent les trois amies .
L’une tenta bien de justifier
Son attitude face à ce renard futé
Mais les deux autres ne voulurent rien entendre.
Elles laissèrent partir leur amie sans mots dire
Oubliant tout qui jusqu’ici les avait fait tant rire!!!
Celle-ci, partit non sans se retourner
Avec le coeur profondément blessé
Laissant entendre
Que plus jamais elle ne se laisserait prendre .
-dimdamdom-
Ce qui m’amène à la citation suivante
Pour le dico-citations
Sur l’annuaire pour les Nuls!!!
« Si chaque homme chaque jour jetait une fleur sur le chemin de son prochain,
Les routes de la terre seraient tellement plus agréables ! »
Nous n’étions pas différents
Juste pas les mêmes parents
Nous avons partagé le même nid
Croyant que ce serait pour la vie
Nous sommes retournés chez nos parents
Nous leurs manquions tellement
De force avons quitté le nid
Cela s’est fait sans bruit
Peut-on leur en vouloir
Même si bien souvent nous pleurions dans le noir
Tort ou raison?
A chacun sa raison
Avons fait notre chemin
Parfois caha, parfois cahin
Avons laissé s’écouler le temps
Tellement longtemps
Qu’aujourd’hui nous nous retrouvons
Et voilà que nous bredouillons
Tant de choses à dire
Tant de choses à se souvenir
-dimdamdom-
Pour le mois de février Evajoe nous invite
à écrire sur un souvenir quel qu’il soit, au sens large du terme!
Il y a les mots que l’on dit
Et ceux que l’on ne dit pas
Il y a les mots que l’on voudrait dire
Les mots que l’on ne veut pas dire
Les mots que l’on ne peut pas dire
Et ceux qu’on finit par dire.
Il y a les mots doux, les mots tendres
Ceux que l’on dit avec le coeur
Il y a les mots durs, les mots douloureux
Ceux que l’on dit avec la tête
Il y a les mots vrais, les mots révoltants
Ceux que l’on dit avec les tripes.
Il y a les mots fous
Fous d’amour, fous d’amitié
Fous de tendresse,
Les mots fous de joie, fous de rire
Fous de bonheur
Fous de réconfort, fous d’attention
Puis il y a les mots, fous de rage
Fous de colère, fous de haine
Fous de méchanceté,
Fous de tristesse, fous de déception.
Fous de douleur, fous de souffrance
Fous d’injustice
Il y a les mots hésitants
Les mots que l’on susurre
Les mots que l’on crie
Les mots que l’on hurle
Et les mots que l’on écrit
Il y a les mots qui sonnent faux
Les mots sincères.
Ceux qui vous blessent
Ceux qui vous hissent
D’autres qui retentissent.
Et d’autres qui s’enfouissent.
Il y a tant de mots
Et tous les maux
Ont leurs mots.
-Dimdamdom-
Ceci est mon tout premier poème
Des mots inspirés par un mal être
Sur cette planète du net
Pas toujours nette.
J’aurais pu les corriger
Car je les trouve bien hésitants et maladroits
Mais ils étaient si sincères
Que je préfère ne rien changer
Ce sont mes mots!!!
Indifférence
Je n’aime pas ta sinistre danse
Un jour tu encenses
L’autre tu perds la cadence
Indifférence
Si tu savais comme j’aime la danse
Elle me met en transe
Et bouleverse tous mes sens
Indifférence
En toute évidence
Tu sais manier la lance
Indifférence
Je te porte trop d’importance
Je te laisse à ton silence
Je te tire ma révérence
Et moi je retourne à ma danse
-dimdamdom-
Ceci est ma participation
Au Dico-citations
Sur l’annuaire pour les Nuls
Dis papa c’est vrai que la politesse
C’est de ne pas montrer ses fesses
Tu n’as pas tort
Mais encore!!!
La politesse
C’est rendre avec délicatesse
Des mots de tendresse
A ceux qui te les adressent
Dis papa , un égoïste, tu crois
Que c’est quelqu’un qui ne pense pas à moi
Tu n’as pas tort
Mais encore
Un égoïste n’est épanoui
Que si on ne pense qu’à lui
Il dort la nuit
Le monde peut s’écrouler autour de lui
Dis papa, c’est vrai qu’un blog
Est un endroit où l’on dialogue
Tu n’as pas tort
Mais encore
Un blog est un endroit de partage
Où de page en page
Il s’en dégage
Des sentiments sages
Alors papa suis-je assez sage
Pour commencer ce partage
Oui si tu respectes les mots
Que je t’ai dit plus haut
Et si tes mots
Jamais ne sonnent faux
-dimdamdom-
Sur Internet
Comme tu te la pètes
Et dans ta tête
Plus rien n’est net
Dans ta vie
Ta famille, tes amis
Plus jamais tu ne t’inquiètes
Nouveaux amis sur le net
Toujours tu es en quête
La moindre boulette
Tu ramasses à perpète
Alors t’inquiètes
Demain j’arrête
Je retourne à la fête
Loin d’Internet
-dimdamdom-
Je continue la migration de mes poèmes
Celui-ci me revient souvent en tête
Car c’est hélas bien souvent comme ça sur le net
Tout simplement parce que cet outil qui est sensé nous rassembler
Bien souvent nous divise et c’est bien dommage !!!
Que tu sois malade
Cela ne te donne pas le droit
De me rendre malade
Que tu sois pauvre
Sache que dans la vie
Tu n’es pas seul à être pauvre
Que tu sois mal dans ta peau
Cela ne te donne pas le droit
De me rendre coupable de tes maux
Tout comme toi j’ai mes maux
Alors fait comme moi
Recueille toi dans de jolis mots
Mais c’est dommage que ces mots
Déposés dans ton recueil
Sonnent désormais aussi faux.
-dimdamdom-
Hier j’ai fermé mon blog sur Kazeo
Qui faisait double emploi
Alors je ramène ici tous mes mots
Je vous les rapporterai petit à petit
Selon mes humeurs du moment
Celui-ci tombe brûle pourpoint.
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