En ce jour de Noël je reçois un e-mail
Sur mon adresse gemmail
De la dulcinée de Léonard de Vinci
Celle qui toujours sourit
Quand on la bise
Et qui le suit partout depuis Pise
Voilà un bail que je n’avais eu de nouvelles de lui
Elle m’annonce qu’ils sont à Paris
Lui toujours aussi déprimé
Et elle de plus en plus dévergondée
Mais cette fois en se jetant du ventail
Et en tombant dans le soupirail
Tout en bas de la Tour Eiffel
Il s’est retrouvé nez à nez avec le Père Noël
Qui lui proposait un travail
Dans la mer de Corail
Pour Léonard c’était le plus beau des cadeaux
Il allait enfin gagner des milliers d’Euros
Oui mais voilà que le père Noël
Demanda en échange une petite gâterie
De celle qui toujours sourit
C’est sans condition que Léonard proposa sa Mona
Espérant au plus vite signer son contrat
Mais le Père Noël qui n’est qu’une ordure
Au volant de sa belle voiture
A grande vitesse s’est enfui
Dans un nuage couleur de suie
Laissant sur le vitrail
Le pauvre Léonard et sa jolie caille.
Voici ma participation au jeudi poésie
Sur la communauté des Croqueurs de Mots
A la barre Eglantine-Lilas
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Voici la suite
De l’aventure de notre cher Léonardo et de sa Mona-Lisa
Que j’ai écrite un jour pour répondre à un défi sur mots imposés.
bail, corail, émail, gemmail, soupirail, travail, ventail et vitrail
Mon cher ami Louis Comfort Tiffany
(La culture c’est comme la confiture, moins il y en a plus on l’étale)
Pourrais-tu m’envoyer
De toute urgence un email
Sur mon adresse gemmail
Pour me donner tes coordonnées
Car me voici en haut de la Tour de Pise
Avec mon pote Léonard de Vinci
Et sa copine celle qui toujours sourit
Quand on la bise
Le pauvre Léonard
Vient de perdre son travail
Car son patron Marc O’rail
Lui a raconté des bobards
Voilà que ce soir
Léonard s’est jeté du ventail
Et s’est retrouvé dans le soupirail
Je crois bien qu’il broie du noir
Il penche comme la tour de Pise
Il lui faut vaille que vaille
Retrouver du travail
Sinon il risque de faire une grosse bêtise.
Il devrait peut-être se recycler
Dans le vitrail
Quand il aura fini son bail
Je sais que tu es dans le métier
Tu es un ange
Merci pour ta générosité.
Mes amitiés.
-dimdamdom-
Voici ma participation au jeudi poésie
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A la barre Eglantine-Lilas
Du 16 juin au 26 juin
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Certains reconnaîtront ce poème
Que j’ai écrit un jour pour répondre à un défi sur mots imposés.
bail, corail, émail, gemmail, soupirail, travail, ventail et vitrail
Premier homme tu as courbé la tête en pénétrant ton antre,
Tu es seul, tu frisonnes de froid, la peur saisit ton ventre,
Les ténèbres te font trembler, ton ouïe affûtée scrute le silence,
Tu avances d’un pas, dans cet espace immense.
En ce lieu discret, tu établiras un gîte, un nid ou un repère,
Tu brûleras le bois pour en réchauffer l’air,
Tu y seras le maître, ainsi que ton aimée,
Et la lignée de ton sang, plus jamais terrifiée.
Ta descendance traversera le temps,
Conservant dans ces gènes, ce souci incessant,
D’avoir sur la tête, un abri permanent,
La protégeant de la pluie, du soleil et du vent.
Une cheminée centrale y sera disposée,
Élançant ses volutes dans le ciel tourmenté,
Réchauffant le corps, illuminant les yeux,
Du craquement divin de ses gerbes de feu.
Suspendue dans l’espace, arrivant du néant,
Retenant de ses griffes crochues, un chaudron bouillonnant,
Une crémaillère de fer, tiendra dans son écrin,
Une pitance nouvelle, chauffée dés le matin.
En ce jour Merveilleux symbole d’amitié,
Famille, amis, et autres invités sont ici rassemblés,
Perpétuant ces rites, si souvent répétés,
Dans cette maison, ce gîte… si durement gagné !
Poème écrit par: Pierre ST Vincent
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Par ce poème je clôture ma quinzaine à la barre du défi 124 des Croqueurs de Mots
Dont le thème était : « La crémaillère »
Je remercie tous les Croqueurs de Mots,
Anciens, fidèles, nouveaux
De s’être pris au jeu
Et de m’avoir accueillie aussi chaleureusement.
Je tâcherai d’être toujours à la hauteur de vos attentes.
Bises amirales
Dômi
Par ce poème je participe aussi
Aux jeudis de la Poésie chez Asphodèle
Qui est devenu pour moi
Un rendez-vous incontournable.
Vous accédez au blog « Les lectures d’Asphodèle, les humeurs et l’écriture »
Et si Evajoe me le permet je publie sur la communauté des passeurs de mots.
C’était hier
On a pendu la crémaillère
J’ai reçu de Belgique de la bière
De Suisse du gruyère
Du thé d’Angleterre
Du café de la Cordillère
Des cailloux venant d’une huitrière
Que j’ai jetés à l’arrière
De la choucroute de Bavière
Du cochon en bétaillère
Du saucisson d’une charcutière
Du couscous dans une semoulière
De Bourgogne tout une escargotière
De Tirlemont de la betterave sucrière
Du chocolat d’une chocolatière
Et me voilà à braire …
Pour les retardataires
J’ai préparé quelques tupperware
Merci à vous bande de rastaquouères
Tout cela est somptuaire
Seulement voilà, j’ai le mal de mer
Vite vite allez me chercher ma mère
Avant qu’on ne me ramasse à la petite cuillère.
En partant n’oubliez pas de passer la serpillère
Car j’ai tout vomi sur le pont hier.
Et tant que vous y êtes faites une petite prière
Je vous donne rendez-vous au cimetière.
-dimdamdom-
C’était ma participation
Pour les jeudis poésie
Sur le blog de la communauté des Croqueurs de Mots!!!
(cliquez sur l’image)
Si vous désirez prendre le large avec nous
Soyez les bienvenus!!!
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