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dimdamdom59

artichaut

Avoir un coeur d’rtichaut

Il était une fois un petit artichaut

Qui avait le coeur si chaud

Qu’un jour pour se rafraîchir

Il décida de se découvrir.

Le petit végétal

Fit tomber chacune de ses pétales

Quand il arriva à la taille

Il se retrouva sur la paille

Et c’est sans aucune pitié

Que son petit coeur fut dévoré.

Adieu petit artichaut

Au coeur bien trop chaud.

-dimdamdom-

Voici ma participation toute désuète

Au Dico-Citations

Sur l’Annuaire pour les Nuls

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Sur Internet

Comme tu te la pètes

Et dans ta tête

Plus rien n’est net

Dans ta vie

Ta famille, tes amis

Plus jamais tu ne t’inquiètes

Nouveaux amis sur le net

Toujours tu es en quête

La moindre boulette

Tu ramasses à perpète

Alors t’inquiètes

Demain j’arrête

Je retourne à la fête

Loin d’Internet

 -dimdamdom-

Je continue la migration de mes poèmes

Celui-ci me revient souvent en tête

Car c’est hélas bien souvent comme ça sur le net

Tout simplement parce que cet outil qui est sensé nous rassembler

Bien souvent nous divise et c’est bien dommage !!!

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Alchimiste de la vie, je te convie à m’apprendre ta magie

Bâtisseur des miracles, illumine mes plus ternes nuits

Confie-moi tes secrets, que je puisse sortir de l’oubli

D’aise tu me combleras, si tu mues en bonheur tous mes ennuis

Etrange, est ta manière de transformer les guerres en paix

Fanatique des métamorphoses, tu as fait de cette science ta fierté

Grand maître, digne de tes pouvoirs et de ton nom

Homme sage que tu es, et qui a l’air de vivre éternellement,

Inimaginable, ce que tu oses : changer les périls en soulagements !

Jeu d’enfant pour toi, Mystère pour nous depuis le commencement

Kyrielle de merveilles quand tu réduis le feu de l’enfer en poussière

Lorsqu’aussi, toi, alchimiste de la vie, veille sur la terre et l’univers

Métamorphose l’hiver en printemps avec de doux parfums…

Naguère, ici c’était le désert : du sable, des dunes et des mirages

Observant à présent l’image : des papillons et des primeroses. Ô le paysage !

Puis encore grâce à cet homme, plus de malheur, plus de défunts

Qualifier cet alchimiste de sorcier, ce serait grossier et malsain

Rappelez-vous, c’est du à lui que vous êtes maintenant serein !

Submergez vos cœurs d’amour, vous débarrassant de tous autres mauvais sentiments

Talent sibyllin, qui nous a fait du bien. A l’alchimiste de la vie on doit des remerciements

Usuels enchantements transformant nos rêves en réalité

Vraie magie qui nous émerveille. Un conte de fées !

Waw ! Alchimiste de la vie qui mérite admiration

Xénophobie, cela n’existe plus, car tous vivrons à l’unisson

Yeux brillants, espérant que ça ne change plus

Z’espère que l’histoire de l’alchimiste vous a plu !

-auteur inconnu-

Si toi l’auteur de ce poème venait ici à te reconnaître

Sache que je ne t’ai pas volé tes mots

Mais que je les ai partagés

Afin de leur redonner une nouvelle vie!!!

 

Que tu sois malade

Cela ne te donne pas le droit

De me rendre malade

 

Que tu sois pauvre

Sache que dans la vie

Tu n’es pas seul à être pauvre

 

Que tu sois mal dans ta peau

Cela ne te donne pas le droit

De me rendre coupable de tes maux

 

Tout comme toi j’ai mes maux

Alors fait comme moi

Recueille toi dans de jolis mots

 

Mais c’est dommage que ces mots

Déposés dans ton recueil

Sonnent désormais aussi faux.

-dimdamdom-

Hier j’ai fermé mon blog sur Kazeo

Qui faisait double emploi

Alors je ramène ici tous mes mots

Je vous les rapporterai petit à petit

Selon mes humeurs du moment

Celui-ci tombe brûle pourpoint.

A l’enterrement d’une feuille morte

Deux escargots s’en vont

Ils ont la coquille noire

Du crêpe autour des cornes

Ils s’en vont dans le soir

Un très beau soir d’automne

Hélas quand ils arrivent

C’est déjà le printemps

Les feuilles qui étaient mortes

Sont toutes réssucitées

Et les deux escargots

Sont très désappointés

Mais voila le soleil

Le soleil qui leur dit

Prenez prenez la peine

La peine de vous asseoir

Prenez un verre de bière

Si le coeur vous en dit

Prenez si ça vous plaît

L’autocar pour Paris

Il partira ce soir

Vous verrez du pays

Mais ne prenez pas le deuil

C’est moi qui vous le dit

Ça noircit le blanc de l’oeil

Les histoires de cercueils

C’est triste et pas joli

Reprenez vous couleurs

Les couleurs de la vie

Alors toutes les bêtes

Les arbres et les plantes

Se mettent a chanter

A chanter a tue-tête

La vrai chanson vivante

La chanson de l’été

Et tout le monde de boire

Tout le monde de trinquer

C’est un très joli soir

Un joli soir d’été

Et les deux escargots

S’en retournent chez eux

Ils s’en vont très émus

Ils s’en vont très heureux

Comme ils ont beaucoup bu

Ils titubent un petit peu

Mais la haut dans le ciel

La lune veille sur eux.

 

 

Jacques Prévert

 

 

 

 

dali-femme-a-la-tete-de-fleur-1937-

A Madame X…

 En lui envoyant une pensée

 

Au temps où vous m’aimiez (bien sûr ?),

Vous m’envoyâtes, fraîche éclose,

Une chère petite rose,

Frais emblème, message pur.

 

Elle disait en son langage

Les  » serments du premier amour « ,

Votre coeur à moi pour toujours

Et toutes les choses d’usage.

 

Trois ans sont passés. Nous voilà !

Mais moi j’ai gardé la mémoire

De votre rose, et c’est ma gloire

De penser encore à cela.

 

Hélas ! si j’ai la souvenance,

Je n’ai plus la fleur, ni le coeur !

Elle est aux quatre vents, la fleur.

Le coeur ? mais, voici que j’y pense,

 

Fut-il mien jamais ? entre nous ?

Moi, le mien bat toujours de même,

Il est toujours simple. Un emblème

A mon tour. Dites, voulez-vous

 

Que, tout pesé, je vous envoie,

Triste sélam, mais c’est ainsi,

Cette pauvre négresse-ci ?

Elle n’est pas couleur de joie,

 

Mais elle est couleur de mon coeur ;

Je l’ai cueillie à quelque fente

Du pavé captif que j’arpente

En ce lieu de juste douleur.

 

A-t-elle besoin d’autres preuves ?

Acceptez-la pour le plaisir.

J’ai tant fait que de la cueillir,

Et c’est presque une fleur-des-veuves.

Paul VERLAINE (1844-1896)

&&&&&

Est poète aussi celui qui vous donne l’envie

 D’aimer la poésie

 En partageant des mots jolis

 Empruntés à autrui.

-dimdamdom-

Ils s’appellent Bush, Sarko et Blair

Ils voulaient cette guerre

N’ont consulté ni Dieu

Ni jeunes, ni vieux

Montrer leur puissance

Et agir vite dans leur nuisance

Etaient leur priorité

Aucune pitié

Pour ces peuples démunis

Et sous les armes meurtris

Ils s’appellent Hollande, Cameron et Obama

Tous trois prêts à franchir le mauvais pas

Faut-il leur reprocher

De vouloir ce massacre arrêter

Quoi qu’il en soit ils gardent à mes yeux

Le mérite de consulter Dieu, jeunes et vieux.

Prenant le risque

De tomber du haut de leur obélisque

-dimdamdom-

 

Pour ma participation au jeu de l’alphabet

Sur l’Annuaire pour les Nuls,

Je vous ai trouvé ces quelques ers

 Qui ne sont pas les miens!!!

 Mais ceux de

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Gagnante d’un concours sur ce forum

texte qui s affiche

 Poésie en erre

 Dans un verre,
Je verse les maux
D’un monde d’égos
Qui tourne à l’envers.

 Dans un verre,
Je bois les vers
D’un poète amer
Qui tombe à la mer.

 Dans un verre,
Je noie les hommes
D’un genre pomme
Qui sans cesse errent.

 Dans un verre,
Je vide l’air
D’un temps de colère
Qui préfère se taire.

 La vie de ces verres,
Se remplit de misère
Va droit vers l’enfer
Se brisera par terre.

Pour la communauté : « Le casse-tête de la semaine »

Sherry

 Du 1 au 15 octobre 2013

Thème «  Bouleversement »

 

Ce matin

C’est malin

 A cause de toi

J’ai pris froid

 Moi qui sans cesse partage

De doux adages

 Voilà qu’en une nuit

Tu as tout détruit

 Tu n’aimes pas ce que je représente

Car toujours je gravis les pentes

 Est-ce une tare

De ne pas vouloir patauger dans la mare

 Tu demandes le dialogue

Mais tu monologues

 Car tu restes dans le noir

La lumière tu ne veux pas voir

 Tu me cherches

Je te tends la perche

 Alors pourquoi en une nuit

Tu as tout détruit

 Infuse n’est ma science

Mais crois-en mon expérience

 Il faut dans la vie que tu trimes

Si tu ne veux pas sombrer dans l’abîme.

 -dimdamdom-

 

Bon je vous rassure, c’est une vieille histoire 😉

l'institutrice est fatiguée

Usure

D’un corps qui perdure

Univers

Pas toujours vert

Utopie

D’un monde qui roupille

Unité

Monnaie de singe sans pitié

Union

Mariage sans condition

Unique

Trop pratiquent

Uniforme

Je veux sortir des normes

Usée

Je suis désabusée

-dimdamdom-

Qui suis-je???

Mon blog
Un peu loufoque
Parfois plein d' émoi
C'est aussi moi
Quelques coups de gueule
Ce sont eux qui le veulent
De l'humour
J'en ai eu toujours
Mes amours
Ils sont dans le four
De l'amitié
Je distribue à volonté
De la poésie
C'est juste pour rimer avec zizi
Rien de pire
Que de ne pas sourire
Voilà un peu de moi
Pour toi!!!

-dimdamdom-

Ma musique au fil du temps

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