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Le jeudi de la poésie chez Asphodèle

défi 138 mené par lilousoleil sur apln-blog

 D’un abîme à un autre

Je me promène souriant

A l’ironie de mon sort d’apôtre

Du bonheur recherché et toujours se dérobant.

 

On ne se méfie jamais assez

De ses moments éphémères

Où l’on se croyait arrivé

Dans ses ports espérés après tant de galères.

 

Triste sort n’est que recommencement

Ironique, illusoire et taquin

Qui nous ballotte au gré des vents

Pour mieux nous aplatir d’un revers de main.

-Max Bailleul-

Je viens de faire connaissance avec cet auteur sur Webnet

Qui est une rubrique qui rassemble des poèmes publiés par des internautes.

Ce monsieur ne figure pas dans les grands classiques de la poésie

Mais je pense qu’il a le mérite d’être connu

Par ce poème je participe au double jeudi poésie

L’un pour les Croqueurs de Mots

C’est Lilousoleil qui nous mène en bateau

Pour cette fois elle nous demandait d’interpréter en poésie

L’image en haut de la page.

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L’autre est pour le jeudi poésie

Chez Asphodèle.

asphodèle

Toi le philosophe

Qui m’apostrophe

Chaque nuit tu vagabondes

Dans mon monde

Comme un fantôme diaphane

Dans une vielle cabane.

De derrière ta psyché

Bien caché

En toute transparence

Tu joues de mon innocence

Tu me demandes d’être honnête

Mais la vérité tu n’acceptes

J’aimais pourtant quand ta poésie

Rimait avec fantaisie

Mais tu viens de lever le voile

Sur ce que tu représentes sur la toile

Tes mots savants

Sont devenus pour moi insignifiants

Tu parles dans le brouillard

Tu joues à colin-maillard

Derrière un foulard de dentelle

Dans une lumière artificielle

Je te crains moins lorsque tu es visible

Que lorsque tu te fais invisible

Ta nouvelle politique

Prend des goûts de vomique

Tu cherches à briller

Mais le cristal est usé

Ton énigme est introuvable

Parce qu’elle est déplorable

Avec toi mon vin s’est transformé en eau

Il est devenu aussi insipide

Que toi tu es devenu schizoïde

Tu voulais voir ma nudité

La voici en toute virtualité

Ton lagon je n’ai fait que traverser

Je ne veux plus m’y arrêter

ADIEU

-dimdamdom-

Quand j’ai écrit ce poème

Je ne cherchais pas à faire du mal à qui que ce soit,

Même si mes mots étaient ciblés

Jamais je n’ai dit à qui ils s’adressaient

Mais aujourd’hui je les utilise comme riposte

Aux évènements tragiques qui ont secoué la France.

Souvent j’utilise ma poésie pour évacuer mes maux,

Tout en laissant à chacun la possibilité de les interpréter selon leur motivation

Mais en aucun cas je ne veux ouvrir un  débat sur les miennes.

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Je participe au jeudi poésie chez les Croqueurs de Mots

Enriqueta nous demandant d’écrire sur le thème

« Belle ou beau tout nu »

asphodèle

Et je dédie ce poème à Asphodèle et sa communauté des Plumes.

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Voici une raison de plus qui me donne l’envie de me taire!!!

 

Rien à dire

 C’est bien ça le pire

 Il faut que tu te taises

 C’est ça qui me pèse

 Il faut que tu t’inclines

 C’est ça qui me chagrine

 Il faut que tu mentes

 C’est ça qui me tourmente

 Il faut que tu te venges

 C’est ça qui me dérange

 Il faut que tu doutes

 C’est ça qui me dégoute

 Demande moi de rire

 C’est tout ce que je peux faire de pire!!!

 -dimdamdom-

asphodèle

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Voici ma façon de rendre hommage

A Charlie Hebdo

Touché en plein coeur de la liberté d’expression Française!!!

 

le cadeau parfait sur le coin de ma poésie

LE CADEAU PARFAIT

 

Elle a parcouru plusieurs kilomètres

Pour trouver le cadeau parfait pour son enfant.

Un beau soir, après deux longues soirées, fatiguée,

Elle a pensé lui demander ce que lui  voulait.

Et, voici l’étrange liste des cadeaux qu’il a suggérée:

 

J’aimerais, me dit-il, être Félix, notre petit chat,

Pour être pris dans vos bras moi aussi

Chaque fois que vous revenez à la maison…

J’aimerais être un baladeur,

Pour me sentir parfois écouté par vous deux,

Sans aucune distraction, pour que vous n’ayez, au bout de vos oreilles,

Que mes paroles fredonnant l’écho de ma solitude…

J’aimerais être un journal pour que vous preniez un peu de temps

 Chaque jour pour me demander de mes nouvelles…

J’aimerais être une télévision pour que, avant de vous endormir le soir,

Vous preniez au moins une minute pour me regarder avec intérêt…

J’aimerais être une équipe de hockey pour toi, papa,

Afin de te voir t’exciter de joie après chacune de mes victoires.

Et pour toi, maman, je voudrais être un roman,

Afin que tu puisses lire mes émotions…

À bien y penser, je n’aimerais être qu’une chose:

Un cadeau inestimable pour vous deux…

Ne m’achetez rien:

Permettez-moi seulement de sentir que je suis votre enfant…

-auteur inconnu-

 

J’ai puisé ce texte sur le net

Pas facile de trouver un poème sur le thème de Noël

D’auteurs plus connus.

Je pense que les mots de cet enfant

Ont le mérite d’être lus

Même si l’auteur reste inconnu.

Voici ma double participation

Aux jeudis poésie

L’une pour les Lectures d’Asphodèle

asphodèle
 
L’autre pour les Croqueurs de Mots
 
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En cliquant sur les images

Vous accédez aux blogs organisateurs.

 

 

 

toussaint sur apln-blog

Voici venu le temps où les feuilles jaunies

Jonchent le sol boueux de leurs débris épars —

Dans le ciel alourdi de brumes infinies

Les lugubres corbeaux chantent de toutes parts.

 

C’est le temps où chacun rend un culte pieux

A ceux qu’il a connus quand ils étaient sur terre,

Où l’âme cherche une âme et scrute en vain les cieux…

Le temps qui voit fleurir le morne cimetière.

 

O Vivants d’autrefois, qui n’êtes que des ombres

En un monde inconnu jaloux de son secret,

Savez-vous que mon cœur empli de pensers sombres,

Garde de votre mort un éternel regret ?

 

O Morts, par qui nos jours s’écoulèrent si doux,

Nous vous gardons encor le meilleur de nous-même

Puisqu’aux heures de deuil qu’obscurcit un ciel blême

Nos souvenirs vous font vivants auprès de nous !…

 

-Alfred de Musset-

Nous voici à la veille de la Toussaint

Hommage que je préfère à la fête d’Halloween

Peut-être parce que je suis née le jour des morts

Voilà pourquoi je partage ce poème aujourd’hui

Pour la poésie du jeudi

Chez Asphodèle

asphodèle

En cliquant sur l’image

Vous accédez au blog

« Les lectures d’Asphodèle »

 

Je dépose ce poème chez toi Evajoe

Tout en te demandant de m’excuser

Pour mon manque de partage en ce moment

J’espère pouvoir bientôt ressurgir 😉

les passeurs de mots sur la plateforme apln

 

mort aux vaches sur apln-blog

Aujourd’hui deux participations

Pour le prix d’une.

L’une pour le jeudi de la poésie chez Asphodèle

asphodèle

En cliquant sur l’image

Vous accédez au blog « Les lectures d’Asphodèle »

L’autre pour les Croqueurs de Mots

croqueurs

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De la communauté des Croqueurs de Mots

Où je demande (c’est moi qui suis à la barre)

De mettre en avant une expression connue.

Ici j’ai choisi « Mort aux vaches »

Utilisée par Georges Brassens

Dans une chanson dont le titre est « Hécatombe »

Issu de son album « La mauvaise réputation »

« Mort aux vaches, Mort aux lois, vive l’anarchie!  »

A chaque fois qu’il chantait L’hécatombe à Bobino en ’72,

Le public s’enthousiasmait systématiquement en applaudissant

Le mot  « anarchie ».

Systématiquement, Brassens allait prendre un verre d’eau

Après la chanson et disait:  » Ils ne comprennent rien à l’anarchie « .

Avec ses chansons, le petit bonhomme qui n’aura jamais suivi les chemins

Qui mènent à Rome partageait contes et histoires avec son auditoire,

En même temps qu’il tenait face à son public.

Brassens provoquait le monde entier lorsqu’il se posait en scène

Avec ses trois accords, et il est un peu regrettable que la majeure partie

Du public n’ait retenu que ces trois accords, précisément.

Lire la suite ….

 

Hécatombe

 

Au marché de Briv’-la-Gaillarde

A propos de bottes d’oignons

Quelques douzaines de gaillardes

Se crêpaient un jour le chignon

A pied, à cheval, en voiture

Les gendarmes mal inspirés

Vinrent pour tenter l’aventure

D’interrompre l’échauffourée

 

Or, sous tous les cieux sans vergogne

C’est un usag’ bien établi

Dès qu’il s’agit d’rosser les cognes

Tout le monde se réconcilie

Ces furies perdant tout’ mesure

Se ruèrent sur les guignols

Et donnèrent je vous l’assure

Un spectacle assez croquignol

 

En voyant ces braves pandores

Etre à deux doigts de succomber

Moi, j’bichais car je les adore

Sous la forme de macchabées

De la mansarde où je réside

J’exitais les farouches bras

Des mégères gendarmicides

En criant: « Hip, hip, hip, hourra! »

 

Frénétiqu’ l’un’ d’elles attache

Le vieux maréchal des logis

Et lui fait crier: « Mort aux vaches,

Mort aux lois, vive l’anarchie! »

Une autre fourre avec rudesse

Le crâne d’un de ses lourdauds

Entre ses gigantesques fesses

Qu’elle serre comme un étau

 

La plus grasse de ses femelles

Ouvrant son corsage dilaté

Matraque à grand coup de mamelles

Ceux qui passent à sa portée

Ils tombent, tombent, tombent, tombent

Et s’lon les avis compétents

Il paraît que cette hécatombe

Fut la plus bell’ de tous les temps

 

Jugeant enfin que leurs victimes

Avaient eu leur content de gnons

Ces furies comme outrage ultime

En retournant à leurs oignons

Ces furies à peine si j’ose

Le dire tellement c’est bas

Leur auraient mêm’ coupé les choses

Par bonheur ils n’en avait pas

Leur auraient mêm’ coupé les choses

Par bonheur ils n’en avait pas

 

-Georges Brassens-

mère térésa sur apln-blog

La vie est une chance, saisis-la.

La vie est beauté, admire-la.

La vie est béatitude, savoure-la.

La vie est un rêve, fais-en une réalité.

La vie est un défi, fais-lui face.

La vie est un devoir, accomplis-le.

La vie est un jeu, joue-le.

La vie est précieuse, prends-en soin.

La vie est une richesse, conserve-la.

La vie est amour, jouis-en.

La vie est un mystère, perce-le.

La vie est promesse, remplis-la.

La vie est tristesse, surmonte-la.

La vie est un hymne, chante-le.

La vie est un combat, accepte-le.

La vie est une tragédie, prends-là à bras le corps.

La vie est une aventure, ose-la.

La vie est bonheur, mérite-le.

La vie est la vie, défends-la.

-Mère Teresa-

Tous les 15 jours, je participe

Aux défis des jeudis poésie

L’un chez Asphodèle

En cliquant sur l’image vous accédez à son blog.

asphodèle

L’autre pour les Croqueurs de Mots

Mené par Martine (Quai des mots)

Dont le thème est « La chance »

croqueurs

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Au blog de la communauté des Croqueurs de Mots

Aller en ville un jour de pluie sur apln-blog

On piétine la boue

En attendant le car

Le car est en retard

La colère qui bout.

 

Enfin, voici le car

Il fait gicler la boue

On voyage debout

Le car est en retard.

 

Ça sent le drap mouillé

La sueur qui s’évapore

Sur les vitres la buée

Ce moyen de transport

 

Nous amène à la ville

On s’y fait insulter

Des agents peu civils

Nous y mépriseraient

 

Si farauds du terroir

On leur un peu marchait

Sur leurs vastes panards

En allant au marché

 

Les garçons de café

Nous servent peu aimables

Ils n’ont pas de respect

Pour la terre labourable

 

La journée est finie

On rentre par le car

La boue toujours jaillit

Pressée par les chauffards

 

Voici notre village

Voici notre maison

Il pleut, il pleut, bergère

Rentre tes bleus moutons

 

-Raymond Queneau-

 

Aujourd’hui je joins deux participations

L’une pour le jeudi de la poésie chez Asphodèle

asphodèle

L’autre pour le jeudi poésie chez les Croqueurs de Mots

Dont le thème est « L’herbe et le béton »

Un thème qui me parle beaucoup

Moi qui vit en ville

Et qui est en quête d’une vie sans béton.

J’aime beaucoup la poésie obsolète de Raymond Queneau .

croqueurs

En cliquant sur les images vous accédez

Aux blogs organisateurs de ces jeudis poésie.

 

A qui la faute ?

 Tu viens d’incendier la Bibliothèque ?

 – Oui.

J’ai mis le feu là.

 – Mais c’est un crime inouï !

Crime commis par toi contre toi-même, infâme !

Mais tu viens de tuer le rayon de ton âme !

C’est ton propre flambeau que tu viens de souffler !

Ce que ta rage impie et folle ose brûler,

C’est ton bien, ton trésor, ta dot, ton héritage

Le livre, hostile au maître, est à ton avantage.

Le livre a toujours pris fait et cause pour toi.

Une bibliothèque est un acte de foi

Des générations ténébreuses encore

Qui rendent dans la nuit témoignage à l’aurore.

Quoi! dans ce vénérable amas des vérités,

Dans ces chefs-d’oeuvre pleins de foudre et de clartés,

Dans ce tombeau des temps devenu répertoire,

Dans les siècles, dans l’homme antique, dans l’histoire,

Dans le passé, leçon qu’épelle l’avenir,

Dans ce qui commença pour ne jamais finir,

Dans les poètes! quoi, dans ce gouffre des bibles,

Dans le divin monceau des Eschyles terribles,

Des Homères, des jobs, debout sur l’horizon,

Dans Molière, Voltaire et Kant, dans la raison,

Tu jettes, misérable, une torche enflammée !

De tout l’esprit humain tu fais de la fumée !

As-tu donc oublié que ton libérateur,

C’est le livre ? Le livre est là sur la hauteur;

Il luit; parce qu’il brille et qu’il les illumine,

Il détruit l’échafaud, la guerre, la famine

Il parle, plus d’esclave et plus de paria.

Ouvre un livre. Platon, Milton, Beccaria.

Lis ces prophètes, Dante, ou Shakespeare, ou Corneille

L’âme immense qu’ils ont en eux, en toi s’éveille ;

Ébloui, tu te sens le même homme qu’eux tous ;

Tu deviens en lisant grave, pensif et doux ;

Tu sens dans ton esprit tous ces grands hommes croître,

Ils t’enseignent ainsi que l’aube éclaire un cloître

À mesure qu’il plonge en ton coeur plus avant,

Leur chaud rayon t’apaise et te fait plus vivant ;

Ton âme interrogée est prête à leur répondre ;

Tu te reconnais bon, puis meilleur; tu sens fondre,

Comme la neige au feu, ton orgueil, tes fureurs,

Le mal, les préjugés, les rois, les empereurs !

Car la science en l’homme arrive la première.

Puis vient la liberté. Toute cette lumière,

C’est à toi comprends donc, et c’est toi qui l’éteins !

Les buts rêvés par toi sont par le livre atteints.

Le livre en ta pensée entre, il défait en elle

Les liens que l’erreur à la vérité mêle,

Car toute conscience est un noeud gordien.

Il est ton médecin, ton guide, ton gardien.

Ta haine, il la guérit ; ta démence, il te l’ôte.

Voilà ce que tu perds, hélas, et par ta faute !

Le livre est ta richesse à toi ! c’est le savoir,

Le droit, la vérité, la vertu, le devoir,

Le progrès, la raison dissipant tout délire.

Et tu détruis cela, toi !

 – Je ne sais pas lire.

-Victor Hugo-

 

A qui la faute?

Pour ma part c’est la faute à mon addiction pour mon PC

Je ne prends plus le temps de lire

Et je le regrette beaucoup

Alors je profite de mes vacances

De mes trajets en voiture

Pour lire,  car voyez vous un bon bouquin coûte moins cher que la 4G

Dès qu’on sort des frontières autorisées par notre fournisseur internet 😉

 

Voici ma double participation pour ce jeudi poésie

-L’une pour la communauté des Croqueurs de Mots-

A la barre Enriqueta

Thème : La bibliothèque

croqueurs

En cliquant sur l’image vous accédez

Sur le blog de la communauté des Croqueurs de Mots.

Où je vous souhaite la bienvenue

– L’autre pour La poésie du jeudi chez Asphodèle-

asphodèle

En cliquant sur l’image vous accédez au blog d’Asphodèle

Qui vous souhaite la bienvenue.

handicap

Il était penché

Au dessus de la falaise

Prêt à basculer

Au bord du malaise

 

Elle était juste derrière

Prête à l’empêcher

De tomber tête la première

Dans l’obscurité

 

Il ne l’entendait plus

A cause du vent pensait-elle

Où est passé celui qu’elle a connu

Il n’était plus rationnel

 

Il lui fallut du temps

Pour le ramener à elle

Elle lui parlait doucement

La nuit était belle

 

Et comme par magie

Elle vit dans ses yeux perdus

Cette indescriptible envie

D’oublier leurs malentendus

 

Dans cette nuit pas si noire

Elle l’invita à quitter sa chaise

Et de venir s’asseoir

A côté d’elle au bord de la falaise

 

Tous les deux regardaient maintenant

Dans la même direction

Comme des enfants

Qui revenaient à la raison.

 

-La Raison-

 

Je participe aux jeudis poésie

Sur la communauté des Croqueurs de Mots

Pour la barre 126

Menée par Jeanne Fadosi

Dont le thème est » la chaise »

croqueurs

En cliquant sur l’image

Vous arriverez sur le blog de la communauté des Croqueurs de Mots

Où vous êtes les bienvenus.

Je participe également

Au jeudi de la poésie chez Asphodèle

asphodèle

En cliquant sur l’image

Vous arriverez sur le blog d’Asphodèle

Où de bien entendu vous êtes les bienvenus aussi 😉

 

Qui suis-je???

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Un peu loufoque
Parfois plein d' émoi
C'est aussi moi
Quelques coups de gueule
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De l'humour
J'en ai eu toujours
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Ils sont dans le four
De l'amitié
Je distribue à volonté
De la poésie
C'est juste pour rimer avec zizi
Rien de pire
Que de ne pas sourire
Voilà un peu de moi
Pour toi!!!

-dimdamdom-

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